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SOMMAIRE DE L'ARTICLE
Cision et l’Université Anglaise Canterbury Christ Church reviennent à nouveau pour la 5ème année consécutive, nous fournir une étude complète sur le comportement des journalistes au travers des réseaux sociaux. Cette étude prend la forme d’une infographie bien détaillée avec de nombreuses informations sur plusieurs pays, y compris la France.
Cette étude sur les réseaux sociaux a été menée auprès de plus de 2000 journalistes interrogés entre les mois de mars et juin 2016, et ce, au travers de 7 pays dans le Monde.
Les réponses obtenues :
 
L’étude s’appuie sur ces 5 axes majeurs avec des résultats détaillés pour chaque point :
1 – L’utilisation massive des réseaux sociaux pour toutes les nationalités
2 – L’engagement de l’audience, promotion du contenu et veille : les 3 avantages des réseaux sociaux pour les journalistes
3- Les journalistes et réseaux sociaux : entre dépendance et méfiance
4- Les réseaux sociaux : un impact fort sur le métier de journaliste
5 – Les réseaux sociaux n’ont pas changé les relations avec les professionnels des RP
 
Extrait du premier axe :
On peut voir dans cette série de résultats du premier axe, différentes options sur l’utilisation des réseaux sociaux, notamment celle qui est faite dans le cadre du travail pour le premier point. Fréquence d’utilisation, compétence et maitrise, sont abordés sur les points suivants, extraits de cette étude.
 
En ce qui concerne l’utilisation des réseaux sociaux dans le cadre du travail, les pays nordiques tiennent le haut du pavé avec 96% des journalistes pour la Suède et la Finlande. La France est quant à elle à 91%, ce qui reste un résultat tout de même important.

 
La fréquence d’utilisation semble être plutôt homogène sur les pays visés. 26% des journalistes français ne sont pas connectés quotidiennement sur leurs réseaux sociaux contre 15% pour l’Allemagne à l’opposé. Cependant la majorité sont connectés un peu moins de 2h/jour. L’Allemagne et la Suède sont les plus connectés à hauteur de 15% et 14% pour plus de 4h/jour.
Les journalistes en France sont quant à eux 6% à être connecté plus de 4h/jour.

 
Il s’agit ici de donner la parole directement aux journalistes sur leur niveau de compétence. On peut voir dans un pays comme la Suède qui abrite de nombreux utilisateurs et parmi les plus actifs, un petit 4% des journalistes quant à la parfaite maitrise des réseaux sociaux et un 25% pour un bon niveau. Modestie ou phase d’apprentissage ? en creusant un peu ce serait intéressant d’atteindre le pourquoi.
A côté les journalistes Finlandais atteignent un bon 20% sur la maitrise des réseaux sociaux et 23% un bon niveau. Ils sont donc selon leur propos, majoritaire dans la maitrise des réseaux sociaux. A l’opposé ils possèdent aussi la valeur la plus élevée, 7%, concernant les journalistes n’ayant aucune compétence.
Au canada les journalistes sont 41% à avoir un bon niveau de compétence.

 
Ce point vient renforcer le précédent en faisant état des pays où les journalistes maitrisent le mieux les réseaux sociaux. On retrouve sans surprise la Finlande qui possèdent les taux les plus élevés sur les 2 opposés « maitrise » et « bas niveau ».
La France se positionne dans la moyenne, et la Suède comme le Canada comptent les journalistes qui sont parmi les plus compétents sur la maitrise des réseaux sociaux.
 

Voilà une excellente étude à laquelle il manque peut-être un élément : l’évolution des chiffres sur les 5 années d’études. Il aurait été intéressant d’avoir une comparaison pour voir les éventuelles évolutions indiquant une prise en main et un éventuel  intérêt plus ou moins prononcé pour les réseaux sociaux.
Merci à Cision pour cette étude complète !
 
source : infographie Cision

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