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SOMMAIRE DE L'ARTICLE
Tout ce qui vise à promouvoir une entreprise sur internet au travers de canaux différents comme les blogs, les forums ou les réseaux sociaux, fait appel au webmarketing ou marketing digital.
Il s’agit de communiquer sous différents leviers marketing pour attirer le consommateur tout en générant des leads et en les convertissant en clients, en fans, membres etc…
Un des leviers du marketing digital connus et utilisé par de nombreux acteurs du web est l’inbound marketing.
Parmi les nombreux avantages du marketing digital, on peut mettre en avant pour les entreprises, qu’il permet de mesurer la performance de leurs actions.
Grâce à des outils de plus en plus pointus, dont le marketing automation et les solutions d’analytics via les réseaux sociaux comme MakeMeStats, il est plus simple de calculer un ROI et d’anticiper la portée de ses actions.
Le marketing digital est devenu incontournable au sein d’une majorité d’entreprises, cherchant à valoriser ses opérations marketing et à performer au travers d’internet.
 
L’agence SEO SEOLIUS a réalisé une étude portant sur 643 professionnels issus de différents univers où internet joue un rôle majeur.
L’étude permet de faire ressortir les besoins des professionnels en matière de marketing digital sur l’année 2017.
 
 
Difficile à dire si des profils ayant 20 ans d’expérience ou plus dans le webmarketing sont à considérer.
L’internet grand public remontant au début des années 90 (92/93), il était encore difficile à l’époque de parler de marketing digital au sens propre du terme comme on l’entend de nos jours.
L’internet de l’époque était d’une lenteur déconcertante et les outils n’étaient pas légion pour mesurer la performance éventuelle d’actions limitées au emails.
Il faudra attendre quelques années pour voir un cheminement se dessiner entre le déploiement des sites, l’email, les navigateurs, les moteurs de recherche, les CMS et l’évolution des vitesses de transfert.
L’email étant presque l’unique outil de l’époque pour prétendre le rallier au marketing digital. Les sites et/ou forums n’avaient pas encore pour vocation de faire du business (e-commerce notamment) même si l’évolution a été fulgurante jusqu’à l’éclatement de la bulle internet.
Il faudra attendre une certaine maturité des nouveaux acteurs du web, pour parvenir à exploiter un écosystème pleinement opérationnel sur internet.
 
S’ils sont 19% à n’éprouver aucune difficulté selon l’étude, ils représentent tout de même plus d’une centaine des 643 professionnels ayant participé à l’étude (soit environ 122 personnes)
On aurait aimé savoir si ces profils se situaient majoritairement, parmi ceux ayant un nombre d’années d’expérience important.
Quoiqu’il en soit les difficultés rencontrées sont encore à creuser au vu des larges domaines représentés.
 
Le SEO est univers large qui englobe de nombreux paramètres au sein desquels on peut parler de contenu, d’optimisation des requêtes, d’aspects techniques liés au site web, d’utilisation et d’optimisation des canaux de diffusion ou encore de problématiques non identifiées voir difficilement identifiables.
 
Là aussi on aurait aimé recouper l’information avec le nombre d’années d’expérience des profils, sont-ils tous (par exemple) dans la tranche des moins d’un an d’expérience ?
 
Est-ce dés lors un problème interne comme le manque de formation, ou un problème directement lié à certains profils qui ne sont plus à jour ou qui ne souhaitent plus s’investir là où les changements s’opèrent rapidement ?
 
Manque de budget et problème de retour sur investissement sont également à creuser au regard des actions menées. On pourrait par ailleurs retrouver des profils ayant des problèmes de budget, entraînant malgré eux un manque de ROI.
Où vont les budgets en priorité pour ces profils ? On aimerait aussi le savoir pour évaluer les besoins des entreprises et le manque de budget pour y répondre.
On note ensuite des difficultés diverses entre le temps, la formation , le choix des prestataires, les analyses et le contrôle des résultats ainsi que le SEA et la peur que représente encore le marketing digital pour certains professionnels.
4% des profils sont rangés dans autres difficultés !
 
Sur l’année N-1 on constate que le principal levier utilisé en webmarketing, à hauteur de 20%, est le SEO ! Hélas sans avoir plus de détails sur ce qui est considéré comme action au travers du SEO !
Si la principale difficulté rencontrée est aussi le SEO pour plus de 22% des profils, peut-on considérer que parmi les 20% l’ayant utilisé en 2016, ils s’y trouvent des professionnels éprouvant justement des problèmes !?
Le SEA suit de près le SEO avec 19% de ceux l’ayant utilisé pour seulement 1% des profils ayant éprouvés des difficultés avec ce levier du marketing digital.
Peu de profils l’utilisent ? ou la majorité des professionnels maitrisent-t’-ils le SEA ?
Il y aurait un comparatif intéressant à faire entre SEO et SEA à ce stade !
 
L’email marketing, l’advertising, l’e-reputation, le brand marketing, les RP, les relations blog, le vidéo marketing et le marketing relationnel arrivent ensuite en s’amenuisant de 12 à 4 %.
On ne retrouve ici aucun levier sur lequel il y aurait eu des difficultés rencontrées, malgré que seul le SEO et le SEA ont été soulevés comme univers directement liés au marketing digital.
La formation à hauteur de 4% et le SMO pour 1%, bouclent les services webmarketing utilisés en 2016.
 
Une chute brutale fait état de 59% des profils qui sont certains de ne pas réinvestir dans le webmarketing pour 2017 ! Ce qui est un chiffre très curieux si les investissements ont porté leurs fruits… à moins que ce ne soit pas le cas et c’est alors dommage de ne pas le percevoir dans les chiffres.
Est-ce que les 23% de profils éprouvant des difficultés avec le SEO vont faire une croix dessus en 2017 ? ou
Est-ce que les plus de 20% l’ayant utilisé en 2016 n’ont pas eu les résultat escomptés et arrêteront d’investir en SEO en 2017 ?
2 gros chiffres pour lesquels il demeure encore des zones d’ombre sur les investissements et l’analyse des résultats notamment ! On espère une étude plus poussée sur le sujet dans les mois à venir.
34% des profils interrogés sont néanmoins prêts à réinvestir et 7% demeurent indécis en terme de marketing digital.
 
Qu’est-ce qui a décidé ces 34% de professionnels à réinvestir et surtout les 59% à ne plus investir ?
Si le budget et le temps sont mis en avant, on pourrait interpréter ce constat par un manque de ROI pour le temps à investir en marketing digital ! quant au 7% qui se trouve sur la frontière, il y a sans doute un manque de visibilité sur le sujet.
Comment vont se répartir ces investissements en 2017 ?
1/3 seulement vont poursuivre leur investissement contre 59% qui n’investiront plus et 7% qui sont encore indécis.
 
L’enquête menée par Seolius a été réalisée pendant 3 mois sur les sites Seolius et Webmarketing-com fin 2016.
Néanmoins je trouve qu’il manque des infos cruciales pour recouper les chiffres et comprendre les résultats.
Avec les profils prêts à répondre, il aurait été sans doute simple de poser quelques questions supplémentaires pour mieux comprendre ces chiffres et affiner la dimension SEO notamment.
 
source de l’infographie : Seolius
Etude sur la consommation du webmarketing en 2017
crédit photo à la une : iStock by Getty Images
Merci Laurent pour le relais et pour les remarques surtout. Nous avons adapté notre étude en y ajoutant quelques graphiques supplémentaires pour répondre à certaines de tes questions. On continue d’affiner pour arriver à une étude mieux structurée.
Bonne journée
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