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Publié par Olivier Andrieu | 15 Fév 2007 | | Temps de lecture : 3 minutes
Je viens de passer quelques jours sur un certain nombre de salons traitant du e-markting, du business online et du référencement et j’ai, du coup, assisté à un certain nombre de conférences, très intéressantes, sur le sujet.
J’ai été surpris et parfois amusé de m’apercevoir que le mot “contenu” est aujourd’hui dans toutes les bouches. C’est certainement une bonne chose, mais j’ai parfois l’impression qu’on ne découvre qu’aujourd’hui à quel point le contenu est capital dans le succès d’un site web. Pourtant, la célèbre maxime “CONTENT IS KING”, est répétée à l’envi depuis que le web existe…
Mais ne gachons pas notre plaisir, après tout, s’il a fallu attendre la notion de linkbaiting (voir la lettre Recherche et Référencement de février 2007 pour en savoir plus…) pour bien comprendre l’importance du contenu dans le processus de visibilité d’un site, tant mieux ! Le principal est que le message passe… Un site “plaquette” est aujourd’hui quasiment inréférençable sur le Web… On peut d’ailleurs se poser la question fondamentale sur la necessité de donner une quelconque visibilité à un tel site…
Le contenu est donc le capital. Notion importante, voire indispensable s’il en est… Mais j’ai aussi parfois l’impression qu’il existe aujourd’hui un vrai risque de trop en faire… A force de parler de contenu à tire-larigot et de triturer le concept dans tous les sens, j’ai un peu peur que se développe une volonté du “contenu à tout prix”, voire “à n’importe quel prix”… Avec des pages créées automatiquement par dizaines, reprenant plus ou moins le même contenu, etc. On dérive alors assez vite et on se rapproche à grands pas du spamdexing… Bref, trop de contenu peut tuer le contenu comme sont déjà mortes, dans le cimetière du référencement, les balises meta et les pages satellites…
En clair, tant que les sites web développeront du contenu de qualité de façon “raisonnable” et “raisonné”, cela ne posera aucun problème. Bien au contraire, cela ne pourra être que bénéfique pour les moteurs… Et les internautes ! Mais si on commence à créer des “usines à contenu automatique” pour mieux référencer des sites web, certaines risquent bien de se faire taper (une nouvelle fois, serais-je tenté de dire…) sur les doigts… Autant être prévenu à l’avance…
L’avenir passera par un contenu de qualité créé à l’attention des internautes et auquel on donnera une meilleure visibilité grâce au référencement. Toute autre stratégie risque bien de ressembler à un terrain glissant menant à la liste noire… Un webmaster averti en vaut bien deux… 🙂
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Note :
Billet très intéressant and so pertinent ! Effectivement, le contenu se doit être – et pas seulement pour s’inscrire dans la tendance – au coeur de toute communication. D’ailleurss, les moteurs de recherche placent désormais la qualité du contenu d’un site au cœur de son référencement naturel. Et c’est bien là, l’enjeu. Le contenu se doit d’être avant signifiant et pertinent. S.C.
En savoir plus > http://comildiz.over-blog.com/
Conversation on ne peut plus intéressante et « enrichissante » pour les auteurs… et les commentateurs.Je suis webmastrice du site http://www.lesfeescreatives.com , il existe depuis bientôt 3 ans maintenant et la petite « boite » que j’ai crée depuis 2 ans bientôt.
J’ai mis tout mon coeur, mon savoir faire, mon expérience de femme, de commerciale et de bricoleuse dans le site lesfeescreatives.com .Depuis 3 ans je passe la plupart de mon temps à « nourrir » ce site, apporter à mes visiteuses , des produits de qualité, je vends des perles , des idées,des schémas, et je suis désolée de me rendre compte que ce n’est pas le meilleur produit qui remporte le succès auprès du consommateur, mais bien celui qui est le plus « malin » pour se faire référencer…. Les comparateurs de prix sont juste des « usines » à fric, il faut juste savoir que le mieux positionné en terme de produits n’est pas celui-qui a les meilleures perles mais celui qui paie le plus. Mon catalogue produits est sur plusieurs portails ,comparateurs et moteurs de recherche (priceminister,le guide et autres), si j’analyse les liens pointant sur mon site , je n’en vois aucun provenant de ces comparateurs…Cependant , je leur fournis gracieusement du contenu, qui valorise mes concurrents….Bien triste morale , n’est ce pas…
Et que dire des sociétés qui vous promettent une position sur la première page de Google, qui vous font payer très cher un service qu’elles n’apportent pas.J’utilise Google Adwords et j’ai fait faire un référencement il y a moins d’un an par une société qui a « pignon sur rue », le résultat en est que toutes les maigres recettes générées par l’entreprise sont englouties chez des prestataires (gourous du référencement et autres). Mon conseil à tous ceux qui veulent ouvrir un site e-commerce…Ne vendez rien de bon, ne passez pas de temps a chercher de bon produits pour vos clients…Vendez du vent, de la m…. mais surtout trouvez le bon référenceur…Inutile d’avoir des produits de qualité, il faut juste être plus malin que les autres…J’ai décidément encore bien des progrès à faire en matière de e-commerce, moi qui pensais qu’il suffisait d’apporter le meilleur produit au meilleur prix …
J’avais comme crédo jusqu’à présent , que pour recevoir il fallait donner…..Je donne , je donne,des cadeaux , des prix, de l’argent à google, à la poste,à mes prestataires,comptables,assureurs et j’en passe.Vous connaissez tous les charges qui incombent aux indépendants… Voilà mon analyse et mon expérience .
Pour citer Marc d’oxatis :
Il est nécessaire de faire comprendre aux vendeurs en ligne qu’avant de se tourner vers des techniques de « gourous », il est indispensable de mettre en ligne des catalogues assez fournis.Est-il logique de passer 30 minutes à « optimiser » une page que l’on a mis 3 min. à écrire ? Non, sûrement pas, c’est le bon sens même.
Mon catalogue produits contient environ 1600 références de perles sélectionnées de la meilleure qualité qui soit, j’ai passé des centaines, pour ne pas dire des milliers d’heures à photographier les produits, faire des retouches, créer des références,créer des bijoux, des schémas, et les bons jours , j’arrive à un ca de 500 euros, avec une moyenne par jour de 60 à 80 euros.Alors tous vos conseils et votre aide (gratuite, car je n’ai plus les moyens de payer des prestataires)je les accepte volontiers, vos critiques aussi, car c’est ce qui permet de progresser. Pardonnez ce commentaire on ne peut plus aigri , mais l’internaute doit savoir aussi que l’internet n’est pas qu’un eldorado pour futur milliardaire…
Je suis du même avis qu’Olivier, on voit de plus en plus de solutions de création de contenu orienté SEO sur le marché.
Ces solutions ne sont au final qu’une « astuce » pour satisfaire des clients crédules pour lesquels le référencement est un univers encore flou.
Ces solutions ne sont en fait qu’un réplicat de ce que nous avons pu connaître avec les pages satellites, à la différence que les pages auto-générées ne sont pas masquées par des redirections.
Il s’agit pas de création intelligente de contenu mais d’usine à contenu optimisé SEO.
Très souvent, le site en lui même n’est pas optimisé et l’on trouve une armada de pages optimisées qui s’y rattachent.
Maintenant, il reste à voir comment les moteurs vont réagir façe à ce nouvel affront (je suis un peu excessif) à leur guidelines. Les sites utilisant ces solution seront pénalisé comme ayant un contenu trop similaire. De là à parler de blacklistage, c’est du ressort des ingénieurs et des filtres à développer par les moteurs de recherche.
Enfin tout cela pour dire qu’en définitve, la profession de SEO est toujours composée de sociétés sérieuses s’appliquant à pratiquer une optimisation onsite, et d’autres cherchant plus la facilité et surtout l’usine à cash.
Tof
Quantité ne rime pas avec qualité, on le sait bien.
Et faire les 2, c’est assez compliqué.
C’est comme Wengo (Neuf télécom) qui fait sa place de marché, plus il y a des couillons, mieux c’est pour vendre sa VOIP, il semble même qu’il prenne une com’ au passage sur chaque deal, c’est le foutage de gueule.
Mais plus c’est gros, plus ca passe, comme disent les politiques.
On voit aussi cette notion de contenu qui différencie Google, le gros serveur qui numérise tout, et Yahoo qui veut faire dans la dentelle et le web 2.0.
Alors si chacun développe son propre contenu, quelle pertinence ? déjà se sentir existé peut-être.
On peut aussi dire, que finalement il y a peu d’innovations et dans tous les domaines, souvent on copie le voisin.
Finalement le look dénudé à la Google, les petites phrases percutantes tel un slogan, le bon dessign « à la Apple », ca fait de mal à personne.
Enfin nous chez Cyberworkers.com, on a pris ce virage.
Voici un nouveau site que nous allons lancer : reponsesrapides.com
Cyril Slucki
PS : Désolé pour le côté auto-promo de ce post 😉
« J’ai corrigé. En même temps, un simple mail pour me signaler la faute de frappe aurait peut-être été plus simple… Mais vous n’auriez pas pu faire de lien vers votre blog, du coup… Je comprends, pas de problème… »
Je trouve ça très bof, et j’aurai très certainement fait comme Jean-Marie. D’ailleurs, je le fais régulièrement sur mes lectures web.
Poster un commentaire, c’est quand même beaucoup plus facile que fouiller un site pour trouver une adresse email. Libre à l’auteur du post – s’il ne peut souffrir une remarque sur la forme de sa prose – de supprimer le commentaire si ce dernier n’avait d’autre but que de signaler la faute de frappe comme c’est ici le cas.
Quant à la valeur d’un lien sur un commentaire ici même, est est plutôt faible. Jean-Marie a probablement eu droit à un peu plus que les 3 ou 4 cliqueurs habituel étant donné le ton légèrement sarcastique à peine masqué par les formules de politesse et les smilies. La valeur du lien pour les moteurs de recherche est égale à 0, grâce au (ou à cause du) rel= »nofollow ».
Bref, je connaissais le billet de J-M sur le linkbaiting, mais cela n’aurait pas été le cas, j’aurais été heureux de le découvrir grâce au lien laissé en commentaire.
Pour en revenir au sujet principal, je souhaite renchérir sur le commentaire de d.vda qui pointe du doigt un certain nombre de sites très bien référencés dans les moteurs de recherche (en particulier sur Google) grâce à une très bonne optimisation et des liens depuis des sites populaires.
D’ailleurs, un petit whois nous fera découvrir que les auteurs/partenaires de nombre de ces sites sont les mêmes que ceux qui prêchent la bonne parole et dénoncent leurs propres pratiques.
Sur ces réflexions, je vous souhaite à tous une bonne semaine, et je continue bien entendu à vous lire.
Bonjour,
J’avoue que je ne suis pas trop convaincu car cette idéee de « trop de contenu tue… »
Attendons de voir d’abord si le contenu, en effet, se développe – et surtout s’il se développe en qualité. Ca me semble un peu prématuré de prévoir les débordements alors que la coupe est loin d’être pleine – sauf à vouloir remplir des pages 😉
Journaliste de formation (et toujours de pratique), je reste hérissé par le mot « contenu », qui ne vaut que par opposition au « contenant ».
Je raisonne pour ma part uniquement en terme d’information, bref de service apporté au lecteur. On est loin du remplissage de pages (quoique, parfois ;-)).
Et l’information pertinente est bien plus difficile à développer et automatiser que du « contenu ».
Hervé
Bonjour
L’article de ma lettre pro liste pas mal de liens vers des articles intéressants sur le linkbaiting dont celui présent sur votre blog, bien sur, puisqu’il a été l’un des premiers à parler de ce concept en France (comme je le dis dans l’article d’ailleurs)…
En même temps, mon post ci-dessus ne parle pas spécifiquement du linkbaiting mais plutôt, de façon plus générale, du « contenu pour le contenu » et de ses risques de dérapage, donc pourquoi mettre des liens vers d’autres articles sur le linkbaiting ? A mon avis, ce serait clairement hors-sujet… Ou alors je m’a planté, ce qui est toujours possible…
Sinon, personnellement, j’avoue que mettre un commentaire un peu « bidon » (désolé mais c’est un peu ça, hein…) sur un blog distant pour créer du lien et du trafic vers son propre site, c’est une manière de faire qui m’interpelle quelque peu, mais bon, encore une fois je n’ai pas à juger… Mais je peux réagir… 🙂
Ceci dit, votre commentaire n’en dit pas plus sur votre vision de ce que je dis dans mon post…
Quant aux termes de « gourou », de « pape » et autres patronymes amusants dont certains veulent bien m’affubler, je prends cela avec beaucoup de distance… Tout en sachant bien que ça génère pas mal de jalousie mal placée, ce que je trouve dommage… Les gens qui me connaissent bien et avec qui j’ai eu le plaisir de boire une bière tranquillement savent ce que je pense de tout cela (je sais même que certains lisent ce blog 🙂 )…
Bien cordialement
Olivier : « Ceci dit, si vous avez une vraie opinion sur le post ci-dessus, n’hésitez pas à en faire partager la communauté 😉 »
Et comment que j’ai une opinion. Quant à savoir si elle est vraie, c’est éminemment subjectif. Mais puisque vous me la demandez, je vous la donne.
Parler de linkbaiting dans un billet en ne fournissant pour tout lien qu’un renvoi vers une lettre avec abonnement payant, c’est certainement bon pour les affaires, mais pas très généreux sur le principe, et d’après moi ça va à l’encontre de ce que devrait être le partage de l’information sur le Web.
Vous connaissez parfaitement mon blog, puisque vous m’avez déjà mis en lien dans votre fameuse lettre, mes stats en attestent, donc vous devriez savoir que mes billets sont truffés de liens vers les blogs/sites des autres, ce que Didier Durand appelle la spaghettisation de la blogosphère, et qui est pour moi un témoignage de ma reconnaissance envers le travail des autres (si quelqu’un a écrit quelque chose de bien, je lui mets un lien, d’ailleurs je n’ai pas compté les liens que j’ai faits vers Abondance dans mon blog, mais il y en a beaucoup, en voici un, juste pour l’exemple), autant que de mon estime vis-à-vis de mon lectorat, en rien comparable au vôtre, je vous rassure, avec qui j’aime partager des ressources intéressantes.
C’est un premier point. Maintenant, sur la question du linkbaiting, j’ai été probablement l’un des premiers à en parler sur la blogosphère, en essayant d’expliquer au plus près le concept anglo-saxon. Or quand on cherche « linkbaiting » sur Google, le premier résultat renvoie à Olivier Duffez qui ne fait que reprendre l’info, ce dont je le remercie : « Dans son récent blog, Jean-Marie Le Ray aborde la notion de linkbaiting et tente de la traduire en français. »
Quant à mon billet, il n’apparaît même pas dans la première page de résultats. Ce que je trouve quand même injuste, donc en mettant le lien en commentaire, je n’ai fait que réparer ce qui est selon moi un oubli, et après tout, chacun fait sa cuisine comme il l’entend, n’est-ce pas ?
Jean-Marie Le Ray
P.S. Et si l’humble internaute lambda que je suis peut se permettre de donner une suggestion au gourou du Web reconnu que vous êtes, je ne peux que vous inviter à lire ce billet (dans lequel j’ai quand même mis cinq liens vers votre blog, d’un seul coup d’un seul), car je serais quand même curieux de connaître votre avis. Chez vous ou chez moi, à votre convenance. 🙂
> Juste une petite correction, ce n’est pas linkbating mais linkbaiting.
J’ai corrigé. En même temps, un simple mail pour me signaler la faute de frappe aurait peut-être été plus simple… Mais vous n’auriez pas pu faire de lien vers votre blog, du coup… Je comprends, pas de problème…
Ceci dit, si vous avez une vraie opinion sur le post ci-dessus, n’hésitez pas à en faire partager la communauté 😉
Bien cordialement et bon week-end.
Olivier
Bonjour,
Juste une petite correction, ce n’est pas linkbating mais linkbaiting.
Jean-Marie Le Ray
effectivement le mot « contenu » dans la bouche d’un référenceur est en général associé uniquement à une problématique de forme : « il faut répéter les mots clés, etc. »…et absolument pas de fond.
Comme si son travail s’arrêtait uniquement à capter les moteurs…et pas les internautes. Un lecteur comprend très rapidement qu’il se retrouve sur un contenu « prétexte » et il ne reste pas. Cela me rappelle les premières actions de référencement des années 2000 où certains utilisaient comme mots clés des noms d’actrices à la mode. Cela attirait un trafic artificiellement, visiteurs qui quittaient le site…déçu par ce qu’il trouvait.
En revanche, un contenu de qualité, avec de nombreuses informations,des liens, des avis différents permettra toujours de répondre aux deux problèmatiques : capter les moteurs et intéresser les internautes.
Au-delà des sites marchands et des comparateurs de prix, qui posent en effet le problème de la duplication « involontaire » de contenu, je trouve que le post d’Olivier aborde une question essentielle : la visibilité d’un site passe-t-elle par la quantité de son contenu, ou par sa qualité ?
J’aurais tendance à répondre « les deux, mon colonel ». Si un contenu est de qualité (riche, pertinent, varié…), il n’y en a jamais trop – à condition qu’il soit structuré, hiérarchisé, afin que l’internaute y accède au rythme de son choix.
Développer le contenu d’un site offre au référencement une assise aussi large que possible. Si la qualité est également au rendez-vous, elle sera synonyme de conversion et de fidélisation des internautes, et génèrera spontanément des liens entrants (voir l’article d’Olivier sur le linkbaiting). Plus que jamais, la visibilité d’un site Web nécessite qu’il en dise beaucoup, et qu’il le dise bien.
Article intéressant ! Mais je me demande jusqu’à quel point les robots vont devenir intelligent pour arriver à différencier les sites qui développent du contenu à la chaine des autres…
Imaginons que demain, sur la boutique pour laquelle je travaille, je décide d’ajouter une rubrique complète sur les casques moto, je vais avoir plusieurs centaines de référence avec des mots clefs très proches voire identiques. Ces nouveaux produits feront que mon site va se voir grossir d’autant de pages… Ma boutique viendrait elle à être classée comme une boutique utilisant le spam indexing ? Ce serait dommage, du moins pour moi 😉
Tout à fait d’accord avec ce billet, si Olivier tu orientes cette analyse dans le sens des marchands du web. En effet, à mon avis ce qui concerne les encyclopédies, les sites d’opinions, etc. est différent.
Il est nécessaire de faire comprendre aux vendeurs en ligne qu’avant de se tourner vers des techniques de « gourous », il est indispensable de mettre en ligne des catalogues assez fournis.
Est-il logique de passer 30 minutes à « optimiser » une page que l’on a mis 3 min. à écrire ? Non, sûrement pas, c’est le bon sens même.
Une question qui revient régulièrement dans les conférences autour du e-commerce concerne la qualité du contenu, la vraie.
C’est un réel problème pour les e-commerçants de savoir si leur site doit avoir « la langue trop longue » ou pas.
Je tente une réponse dans ce billet : La langue trop longue : mon site marchand doit-il être bavard ?
Bonjour,
En effet comment ne pas rejoindre votre analyse, ou du moins, opinion.
Mais de quoi parlons-nous précisémet ?
– Des pollutions à la dicodunet.com sur Google et referencement-internet-web.com sur Google News ?
– Côté e-commerce, à la moindre requête sur un bien de consommation vendu en ligne, des 2 à 3 premières pages de Google en ciao, topachat, ebay, priceminister, shopping, linternaute, rueducommerce, kelkoo, topachat, acheter-moins-cher, prixdunet, pricerunner, …? Entendu ces site donnent des réponses à des requêtes, mais avec la tendance à faire se décider l’achat avant l’arrivée sur le site marchand par une reproduction systématisée du catalogue dans un nouveau modèle, ces tednances sont une abherration en terme de documents, reproduisant des dizaines de fois le même catalogue produit. (A moins que tout cela soit une sélection, et qu’il n’en reste qu’UN !)
Dans une certaine mesure, de Wikipedia ? Quid de sa légitimité si nous référençons aussi bien demain 4 ou 5 autre encyclopédies généralistes ?
Discussion cruciale que celle de la Grande Dilution du Contenu. 😉
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