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En présentant son Z9, Nikon voulait lancer un pavé dans la mare photographique. Voici enfin le test du boîtier blindé, bardé des dernières technologies et potentiellement prêt à tout affronter.
En 2021, sur le marché pro, Sony avait lancé son Alpha 1 (A1), un appareil hybride compact mais doté d’un capteur de 50 Mpx et avalant des rafales à 30 i/s et enregistrant en 8K. Canon avait répondu plus tard avec son monobloc EOS R3.
Nous n’attendions plus que Nikon. Le constructeur se devait de frapper un grand coup pour rattraper, voire dépasser ses concurrents. Ainsi est apparu le Nikon Z9 aussi dénommé “Z 9” par le constructeur.
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Un appareil monobloc aussi lourd qu’un reflex de ce type, équipé d’un nouveau capteur de 45 Mpx, avec des rafales à 20, et même 30 ou 120 i/s ! La nouvelle bête est aussi capable d’enregistrer des vidéos jusqu’en 8K et de résister aux chocs ainsi qu’aux températures extrêmes.

Le Z 9, un appareil pour les pros.

Le Z 9, un appareil pour les pros.

Le Z 9, un appareil pour les pros.
Le Z9 devient aussi le premier APN à se passer de l’obturateur mécanique, embrassant totalement sa nature d’appareil sans miroir. Difficile de dire que Nikon ne prend pas de risques ! Voici donc un nouveau challenger prêt à ravir le maillot de favori au Sony Alpha 1 en proposant de surcroît un tarif agressif pour un appareil de cette gamme.

Avec un appareil tel que le Z 9, difficile de passer inaperçu.

Avec un appareil tel que le Z 9, difficile de passer inaperçu.

Avec un appareil tel que le Z 9, difficile de passer inaperçu.
En effet, le Nikon Z9 est affiché à 5999 €. Soit exactement le même tarif que le Canon EOS R3, tout en proposant, sur le papier, des caractéristiques supérieures. Il laisse le titre d’hybride 24×36 le plus cher au Sony Alpha 1 (prix de lancement de 7299 €).

Un bel engin.

Un bel engin.

Un bel engin.
Si le Z9 est plus compact (15 cm de haut et de large) que le D6, il reste à peine moins lourd (1,34 kg contre 1,45 kg pour le D6). En tous cas, il est bien plus massif qu’un Z7 II.

Jugez la différence de taille entre le Z 9 et le Z7 II.

Jugez la différence de taille entre le Z 9 et le Z7 II.

Jugez la différence de taille entre le Z 9 et le Z7 II.
C’est donc un boîtier solide et bâti pour l’action. Nikon précise bien que son dernier bébé est aussi résistant que son D6 et qu’il ne craint ni les intempéries ni le froid, le gel ou la poussière. Un appareil à emmener partout, pour peu que vos lombaires vous le permettent.
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Les liens de parenté entre le D6 et le Z9 sont donc assez marqués, même si l’hybride se montre plus anguleux que le reflex. On dispose alors d’un large panel de contrôles pour ne pas dépayser ceux qui passent d’un monde à l’autre.

Pléthore de contrôles.

Pléthore de contrôles.

Pléthore de contrôles.
Sur la face supérieure, le Nikon Z9 reprend les codes des Z7 & co, en conservant le bouton d’allumage autour du déclencheur et cerclé des touches ISO, Rec et d’ajustement d’exposition. On notera à côté de la touche “ON” un logo d’ampoule. Il sert à activer le rétroéclairage des touches — qui fait son grand retour sur les hybrides Nikon.

Le déclencheur classique de Nikon.

Le déclencheur classique de Nikon.

Le déclencheur classique de Nikon.
Sur l’épaule droite, on retrouve un petit moniteur de contrôle qui peut s’avérer bien pratique. Sur l’épaule gauche, Nikon a troqué la molette PSAM des Z6 / Z7, pour un trèfle de sélection hérité du D6. Il est équipé de plusieurs touches (mode, enchaînement, flash, etc.) et sert à piloter l’appareil.

Le petit moniteur rétroéclairé.

Le petit moniteur rétroéclairé.

Le petit moniteur rétroéclairé.
Si les pros qui utilisent les monoblocs Nikon depuis des années ne seront pas dépaysés, il faut bien admettre que ce trèfle propose un fonctionnement parfois un peu baroque. Par exemple, là où chez la concurrence il suffit de tourner la roue PSAM pour changer la priorité (ouverture ou vitesse), avec le Z 9, il faut maintenir le bouton “mode” puis utiliser la molette située sous l’épaule droite pour accéder au mode choisi.

Un trèfle de sélection par toujours simple à utiliser.

Un trèfle de sélection par toujours simple à utiliser.

Un trèfle de sélection par toujours simple à utiliser.
De même, pour changer le type d’enchaînement, il faut laisser le doigt sur le petit bouton caché derrière le trèfle supérieur, puis tourner la molette idoine. Et malgré les raccourcis du Z9, il est courant de devoir réaliser un mouvement de plus que chez Canon ou Sony pour accéder à certaines fonctions.

Il est possible de paramétrer les touches à l'avant.

Il est possible de paramétrer les touches à l’avant.

Il est possible de paramétrer les touches à l’avant.
Sur la face arrière, Nikon a apporté quelques modifications au niveau de l’écran. Fixe sur ses derniers monoblocs, puis inclinable vers le haut et le bas sur les Z6 / Z7, il aurait pu passer à la rotule, comme le Canon EOS R3. Il n’en est rien et le moniteur tactile de 2,1 millions de points reste orientable et permet aussi une inclinaison sur le côté pour faciliter les prises de vues à la verticale. Notez qu’il est possible de changer le rétroéclairage pour passer à un affichage tout en nuances de rouge pour plus de discrétion de nuit.

Un écran multi-orientable.

Un écran multi-orientable.

Un écran multi-orientable.
Attardons-nous à présent sur le viseur du Z9. Sa définition de 3,69 millions de points est dans la norme des appareils actuels. Cette définition est inférieure à celles du Canon EOS R3 et surtout du Sony Alpha 1, qui dépasse les 9 millions de points. Pour compenser, Nikon explique que son viseur propose une lisibilité supérieure à tout ce qui se fait sur le marché.

Un bon viseur, mais qui aurait mérité un meilleur taux de rafraîchissement.

Un bon viseur, mais qui aurait mérité un meilleur taux de rafraîchissement.

Un bon viseur, mais qui aurait mérité un meilleur taux de rafraîchissement.
Dans les faits, si le viseur est de très bonne qualité, nous n’avons pas constaté de différences majeures avec les boîtiers concurrents. De plus, cet EVF ne propose qu’un taux de rafraîchissement de 60 i/s, là où le R3 offre 120 i/s et où le A1 grimpe même à 240 i/s. Une option bien pratique pour réduire l’effet de flou lorsque l’on suit les sujets rapides ; dommage pour le Z9 !

Le bon appareil.

Le bon appareil.

Le bon appareil.
Concernant la connectique, le Nikon Z9 n’oublie rien. Le flanc gauche présente ainsi une prise RJ45, deux prises jack (micro et casque), un port HDMI de type A et un port USB-C 3.2. La face héberge une prise synchro-flash et une prise télécommande.

Une bonne connectique.

Une bonne connectique.

Une bonne connectique.
Pour la connexion sans-fil, on peut compter sur le Wi-Fi (norme 802.11b/g/n/a/ac) et sur du Bluetooth 5.0. Le Z9 bénéficie également du système GPS pour géolocaliser ses photos. Le stockage des données s’effectue via deux ports de cartes XQD / CFexpress de type B. Notez enfin, que si le Z9 ne dispose pas d’obturateur mécanique, un volet métallique vient protéger le capteur à l’extinction.

Deux ports XQD / CFexpress type B.

Deux ports XQD / CFexpress type B.

Deux ports XQD / CFexpress type B.
L’autonomie n’a pas été oubliée. Le Z9 est équipé d’une batterie EN-EL 18d. Ce gros accumulateur est rechargeable via le port USB-C, ce qui autorise aussi la prise de vues pendant l’alimentation.

Au centre de l'image : l'accès à la batterie.

Au centre de l’image : l’accès à la batterie.

Au centre de l’image : l’accès à la batterie.
Selon la norme CIPA, la batterie peut encaisser 740 clichés. Dans les faits, lors d’un reportage pendant un match de rugby, nous avons photographié près de 14 000 images (beaucoup de rafales), tout en filmant en 8K et 4K, et cela sans passer sous la barre des 50 % d’autonomie. Impressionnant !
Le temps d’un match du tournoi des Six Nations, nous avons étrenné le nouveau fleuron de Nikon, le Z9. Un appareil d’exception à la mesur…
S’il y a un terrain où le Nikon Z9 était très attendu, c’est bien celui de la réactivité du système de mise au point. Et il ne déçoit pas. Nous avons déjà consacré un article dédié à ce sujet que nous vous invitons à consulter. Il en ressort que le Nikon Z9 est un appareil très vif. Il démarre au quart de tour et, de jour, fait le point vraiment rapidement.

Un appareil véloce.

Un appareil véloce.

Un appareil véloce.
Par faible luminosité, il accuse un peu le coup, mais se rattrape en proposant un enregistrement consécutif des images d’une rare vivacité. Il surpasse dans ce domaine les Sony Alpha 1 et Canon EOS R3.
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Le Nikon Z 9 propose plusieurs types de rafales. Par défaut, en jpeg + raw, il est possible d’obtenir près de 20 i/s, tout en conservant le suivi autofocus. Mais, ce n’est pas tout. En se passant des raw, on peut atteindre les 30 i/s en pleine définition, et même 120 i/s ! Certes la définition passe alors à 11 Mpx, mais on conserve le suivi autofocus.

Plus de 120 i/s en rafale !

Plus de 120 i/s en rafale !

Plus de 120 i/s en rafale !
Dans sa communication, Nikon met en avant la mémoire tampon de 1000 images du Z9. Un chiffre très ambitieux, surtout quand les boîtiers Sony et Canon se bloquent après 150 images consécutives. Nous avons donc voulu vérifier ces affirmations.
Fleuron des hybrides Nikon, le Z9 promet, du moins sur le papier, une mémoire tampon illimitée, ou presque. Nous avons tenu à vérifier ce…
Après plusieurs séries de mesures, il résulte que pour atteindre, et même dépasser les 1000 images du buffer, il faut recourir à un type bien spécifique de cartes CFexpress haut de gamme. Dans notre cas, ce fut avec une ProGrade Digital Blue Cobalt.
L’utilisation obligatoire d’un obturateur électronique rend assez logiquement le Z9 plus sujet au rolling shutter. Il se manifeste sous la forme de déformations de l’image lors de l’enregistrement de mouvements rapides.
Dans un article séparé, nous avons analysé le comportement du Z9 et l’avons comparé à l’EOS R3 et à l’Alpha 1. Si le résultat n’est jamais parfait, les trois appareils offrent des performances tout à fait similaires et très convaincantes.
D’un autre côté, l’utilisation de l’obturation électronique sous un éclairage artificiel ou en prenant en photo, par exemples, des panneaux d’affichage LED peut générer du banding (apparition de bandes disgracieuses), ou des variations d’exposition ou de teintes.
Corriger ce problème est souvent difficile sur le terrain et l’absence d’obturation mécanique retire toute solution de repli. Même si dans notre utilisation, nous n’avons été confrontés que rarement à ce souci, il faudra en tenir compte si ces conditions de prises de vues sont souvent rencontrées.
Comme nous l’avons mentionné, le Nikon Z9 autorise le suivi autofocus dans tous les modes de rafale. Ce dernier reconnaît sans peine visages et yeux des humains et de nombreux animaux. Certains véhicules sont aussi concernés, comme les motos. La plupart du temps, la reconnaissance fonctionne très bien et accroche vite les sujets. Parfois le comportement se fait plus erratique que chez la concurrence. Alors qu’un sujet est très nettement visible au premier plan, le Z9 ne peut s’empêcher de faire le point sur un détail du second plan.

De même, lors de matches de rugby ou de basket, avec certes de nombreuses personnes effectuant des mouvements vifs, l’appareil a parfois pu avoir plus de mal à faire le point que le Canon EOS R3 ou le Sony Alpha 1. Ceci étant dit, ce ne sont que de rares exemples qui n’enlèvent rien aux performances du Z9, mais il convenait de les mentionner.
Dans son Z9, Nikon a installé un nouveau capteur BSI CMOS stacked de 45,7 Mpx qui est stabilisé mécaniquement. Par défaut, sa plage de sensibilité couvre 64 à 25 600 ISO, mais il est possible de l’étendre entre 32 et 102 400 ISO.
Le niveau des détails des images du Z 9 est élevé et la montée en sensibilité très satisfaisante. En jpeg, et jusqu’à 3200 ISO, on conserve une très bonne qualité. Il faut atteindre 6400 ISO pour observer les premières dégradations dues au lissage. Les valeurs supérieures à 12 800 ISO, et surtout celles étendues, ne sont plus vraiment exploitables et il faudra les réserver à des usages très spécifiques.
Nous observons les mêmes résultats lors de l’analyse des fichiers raw. Les images sont excellentes jusqu’à 3200 ISO et un grain assez fin apparaît à 6400 ISO. Il est plus marqué à 12 800 ISO, mais reste tout à fait acceptable et gérable pour qui sait bien manier un logiciel de développement.
Les valeurs extrêmes deviennent trop bruitées pour être correctement exploitables. Notez qu’il manque la valeur 102 400 ISO en raw, et c’est normal, puisqu’à date, nos logiciels de dématriçage, refusent d’ouvrir ce fichier ; une incongruité à laquelle Nikon n’a pas eu de réponse.
Le concurrent le plus direct du Z9 est bien le Sony A1. Ce dernier possède un capteur de 50 Mpx et offre un niveau de détails un peu plus élevé. Le traitement des jpeg semble moins forcé et un peu plus naturel chez le Sony. Ainsi, aux plus hautes valeurs, bien que très dégradés, les fichiers sont un peu mieux préservés.
Nous avons rédigé un article séparé concernant la latitude d’exposition du capteur du Nikon Z9. Il en ressort que la formule de Nikon s’améliore par rapport au Z7 II, mais tout n’est pas parfait. Lors de la restitution des basses lumières, avec nos logiciels, Nikon opte pour un traitement qui fait ressortir un bruit chromatique assez net.
Dans la gestion des hautes lumières, le Z9 reste également un cran derrière le Sony A1, un modèle en la matière.
Canon et Sony s’étaient déjà essayés à la 8K avec leurs EOS R5 et Alpha 1 ; il ne manquait donc plus que Nikon.
Le constructeur au logo jaune arrive ainsi avec un boîtier qui par défaut enregistre de la 8K UHD à 30 i/s. La marque promet une mise à jour pour la captation 8K en raw, à 60 i/s, le tout en interne. Lors de nos tests, il nous avons donc dû nous “contenter” de la 8K “classique” et de la 4K UHD jusqu’à 120 i/s, le tout sans recadrage.
La 8K produite par le Z9 est de très bonne facture. Elle offre des couleurs plus flatteuses que celle issue du Sony A1, au rendu plus neutre. Si l’appareil ne dispose pas d’autant d’options dédiées à la vidéo que le Sony Alpha 7 IV (A7 IV), il propose, outre son large panel de formats, de la capture en log qui fera le bonheur des étalonneurs.
L’autofocus avec suivi des visages et des yeux fonctionne quel que soit le format. Il est précis et doux, même si on espérait qu’il soit parfois plus réactif.
 
Le rolling shutter est ici bien maîtrisé. S’il est présent en 8K, il est assez peu marqué et tend presque totalement à disparaître en 4K. Une bonne chose.
Enfin, il faut parler de la chauffe, ou plutôt de l’absence de chauffe du boîtier. En effet, Nikon avait annoncé que l’on pouvait enregistrer consécutivement plus de 125 min en 8K sans craindre de faire surchauffer la bête. Échaudés par nos essais de l’A1 et surtout du Canon EOS R5, nous avons donc mis à l’épreuve l’appareil. Dans des conditions de température standard, aux alentours de 20 °C dans une pièce de 20 m² correctement aérée, le boîtier a filmé en 8K pendant 2 h 43 min avant que sa batterie ne s’épuise.
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Il n’était pas plus chaud que cela, et la seule chauffe que l’on a pu déceler était celle d’une de nos cartes mémoire, indiquée sur le moniteur du Z 9. Une fois branché à une source d’alimentation, l’appareil a pu repartir immédiatement, sans refroidissement. Vraiment fort !
Vous pouvez retrouver ici toutes les images éditées en pleine définition.

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Nikon Z9 : puissant, polyvalent... un hybride presque parfait
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Nikon a pris son temps, mais ne déçoit pas. Certes le Z9 est un appareil lourd et complexe, mais il est difficile de lui trouver d’autres gros reproches, même si l’excellent viseur reste inférieur à la concurrence. Très bon appareil photo, le Z 9 est aussi une redoutable caméra vidéo et se pose comme un engin ultra-polyvalent qui ravira ses possesseurs, qu’ils soient amateurs experts ou professionnels (reporters, etc.). Nous saluons même l’audace de Nikon qui a osé retirer l’obturateur mécanique sans que cela ne lui porte réellement préjudice. Le Z9 porte ainsi avec brio l’étendard de Nikon dans un nouveau monde où les reflex appartiennent définitivement au passé.
Étrange créature : plus haut qu'une girafe, plus loquace qu'un ara et plus précis qu'une taupe. Voilà le journaliste 3.0 qui mélange le meilleur du monde animal et des médias. Toujours à l’affût d'un bon cliché.
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