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René C. Viau est le dirigeant d’American Clean Energy Solutions.
Photo : Radio-Canada
ENQUÊTE – Site web plagié, mises en demeures : des projets énergétiques d'envergure que l’entreprise de René C. Viau dit piloter au Canada et à l’étranger n'existent pas, selon des municipalités et États concernés.
Ces révélations font surface alors qu'il vient d’être nommé directeur de la Société économique de l’Ontario (SÉO) pour la région du Centre-Sud-Ouest. L’organisme, qui est financé par les contribuables, reçoit plus de 3 millions de dollars d’Ottawa.
Au cours des dernières années, M. Viau est devenu très actif dans les sphères francophones de Toronto. Il siège aux conseils d’administration du Centre francophone de Toronto, du Collège Boréal et de Francophonie en Fête, en plus d’avoir siégé à celui du Club canadien et au comité consultatif francophone de la Ville.
René C. Viau en compagnie de Lise Béland du Collège Boréal et du maire de Toronto, John Tory
Photo : Twitter
Ces responsabilités sont d’ailleurs l’un des facteurs qui ont mené à son embauche en avril, soutient le directeur général de la SÉO, Luc Morin. L’autre raison : l’expérience de René C. Viau en tant qu’entrepreneur, puisque l'organisme vient en aide aux entrepreneurs francophones.
M. Viau dirige la firme American Clean Energy Solutions (ACES) qu’il a fondée en 2015. Sur son site web, l’entreprise dit offrir différentes technologies dans deux domaines : l’énergie solaire, mais surtout la production d'énergie à partir de déchets.
ACES affirme travailler à 25 projets énergétiques, principalement en Afrique. Toutefois, une dizaine d’entre eux ne sont pas ou ne semblent pas en cours, selon des gouvernements locaux. De plus, une dizaine de compétiteurs et d’experts à qui Radio-Canada a parlé remettent en question la faisabilité de plusieurs autres projets d’ACES.
Radio-Canada a également découvert que le contenu du site web d’ACES semble en grande partie plagié, notamment de manuels scolaires. Le site web a été retiré de la toile après la demande d’entrevue de Radio-Canada.
La suite de notre enquête mardi : Un organisme financé par Ottawa ne vérifie pas les antécédents de ses cadres
Lors d’une entrevue téléphonique, René C. Viau a maintenu que tous les projets sur son site web sont en cours, mais il n’a ni confirmé ni infirmé que du matériel avait été plagié. Le site a été fait par un partenaire qui est aujourd’hui décédé. Je vous dirais candidement qu’on n’a pas fait la vérification du contenu, a dit M. Viau, qui a refusé une entrevue subséquente.
Radio-Canada a découvert que des sections du site d’ACES sont copiées d’ouvrages tels qu'Electrical and Electronic Principles and Technology et Climate Management : Solving the Problem, qui sont destinés aux étudiants du collégial et du premier cycle universitaire.
Des sections du site d’ACES sont entièrement copiées de manuels scolaires pour étudiants de premier cycle.
Photo : ACES/Electrical and Electronic Principles and Technology
Un autre exemple : la section faisant la promotion de panneaux solaires photovoltaïques est tirée du site web d’une association d’experts du Massachusetts Institute of Technology.
« Leur site web est plus général qu’un article de Wikipédia. »
Konrad Fichtner dirige la filiale mondiale de gestion des déchets pour Morrison Hershfield à Vancouver, qui oeuvre dans la transformation des déchets en énergie, l’une des deux solutions vendues par l'entreprise de René Viau.
Selon lui, le matériel plagié et le contenu du site web soulèvent des questions sur l’expertise qu’ACES dit détenir. Ça ressemble à un manuel d’écolier. Il n’y a aucune information sur le fonctionnement de sa technologie.
ACES a d’ailleurs emprunté, afin de promouvoir ses technologies, des photos et des diagrammes appartenant à des compétiteurs, dont une vidéo produite par EAWC Technologies, qui fait la promotion d’un système de gazéification par plasma.
Ce n’est pas sérieux du tout, lance Ralph Hofmeier, le PDG d’EAWC Technologies, qui a envoyé une mise en demeure par courriel à René C. Viau après avoir été joint par Radio-Canada.
ACES a « emprunté » une vidéo produite par EAWC Technologies (capture d’écran du haut), qui fait la promotion d’un système de gazéification par plasma. Seule différence : le logo d’EAWC n’apparaît pas sur la vidéo publiée sur le site d’ACES.
Photo : EAWC Technologies/ACES
Dans le courriel, la chef de l’exploitation de la firme basée à Miami, Irma Velazquez, dénonce un comportement non éthique et accuse ACES d’induire les gens en erreur en soutenant détenir les technologies d’EAWC.
Dans sa réponse à Irma Velazquez, René C. Viau s’excuse et explique que les informations sur notre site web sont simplement destinées à exposer les technologies disponibles sur le marché.
Sur son site web, ACES soutient que sa mission est de protéger l’environnement « à l’échelle mondiale ». Toutefois, Radio-Canada a interrogé 13 experts, compétiteurs et associations professionnelles qui disent tous n’avoir « jamais entendu parler » d’ACES et de ses dirigeants.
« Dans l’industrie, il y a des entreprises dont le jeu consiste à attirer des investisseurs et du capital pour les technologies qu’ils prétendent posséder », indique le président de l’Association ontarienne de gestion des déchets, Rob Cook, sans pouvoir préciser si c’est le cas d’ACES.
Une telle approche peut mal tourner, comme lors de la saga entre la Ville d'Ottawa et Plasco Energy, qui proposait une technologie de gazéification des déchets par plasma, similaire à celle proposée par ACES. « Plasco avait réussi à obtenir des dizaines de millions en financement. L'argent a été dépensé et la technologie, jamais réalisée », prévient Rob Cook.
Une usine de conversion des déchets à Durham, en Ontario
Photo : Coventa
Le directeur général de l'Energy Justice Network suit l’industrie de la gazéification des déchets de très près et remet en question les ambitions de l’entreprise : « Ils [ACES] semblent correspondre à ce profil de charlatans dont les sites web mentent de manière flagrante ».
Les projets proposés par ACES, explique Mike Ewall, sont à une échelle jamais vue aux États-Unis, et il serait « naïf » de penser qu'ils pourraient exploiter de telles installations de manière rentable.
Radio-Canada n’a pas pu vérifier si ACES correspond au profil d’entreprise décrit par ces experts.
La gazéification des déchets n’est d’ailleurs presque jamais une réelle solution verte, poursuit Marco J. Castaldi du City College de New York, puisqu’elle produit du dioxyde de carbone.
« Il y a lieu d’être sceptique […] La technologie qu’ils proposent est très difficile à mettre en place. Très peu de compagnies dans le monde le font avec succès. J’en ai vu plusieurs proposer des offres irréalistes », explique le professeur Castaldi, une sommité mondiale dans le domaine.
M. Viau compare ce scepticisme à la science des changements climatiques. « Il y a toujours deux côtés de la médaille. Par exemple, il y a des experts qui pensent que les changements climatiques existent, et il y a d’autres experts qui disent que non. »
René C. Viau n’a pas voulu donner d’information sur les clients d’ACES, puisque « c’est une compagnie privée ». Tous les projets sur le site web, assure-t-il, sont en cours.
Deux se trouveraient au Canada, plus précisément à Thorold en Ontario, où ACES dit développer une usine de conversion des déchets de 100 MW et un projet d’énergie solaire de 70 MW. La porte-parole Nicole Gioseffi s’est dite « préoccupée » de voir sa municipalité se retrouver sur le site d’ACES, étant donné que Thorold « n’a jamais retenu ses services ».
En fait, le conseil municipal de Thorold a interdit la gazéification des déchets sur son territoire en 2016. En entrevue, M. Viau a répondu que c’est plutôt avec Welland, une autre municipalité du Niagara, que des discussions ont été entamées. Une porte-parole de la Municipalité de Welland, Lina Dechellis, a indiqué que c’était faux.
Lorsqu'il a été joint de nouveau, M. Viau a répondu par courriel qu’il ne transmettra « aucun nom des individus avec lesquels nous avons eu des échanges en 2015 avec la Ville de Welland ».
Pour ce qui est du conseil régional du Niagara, seule une proposition du genre a été présentée, dit son porte-parole Norm Miller, soit une usine d'incinération des déchets proposée par un consortium d’entreprises locales.
Le projet a provoqué l’ire des résidents locaux et a été retiré en 2017 avant même d’être examiné. ACES ne figure pas sur la liste d’entreprises participant au consortium, soumise au conseil de la région du Niagara et consultée par Radio-Canada.
Des États et des municipalités des États-Unis s’étonnent aussi de figurer sur le site d’ACES.
L’usine de gazéification des déchets d’Olmsted
Photo : Olmsted County
Une image d’une usine de transformation des déchets à Olmsted, en banlieue de Rochester au Minnesota, figurait de façon proéminente sur le site. Pourtant, ACES n’a jamais participé à ce projet, le seul du genre dans la région. L’avocat du comté d'Olmsted a envoyé une mise en demeure à René Viau pour que l’image soit retirée.
« De toute évidence, ils [ACES] ont pris cette image de notre page Facebook. »
Un extrait de la mise en demeure envoyée par le comté d’Olmsted à René C. Viau
Photo : Radio-Canada / Olmsted County
La chef de cabinet du maire d’Indianapolis, Taylor Schaffer, précise pour sa part ne trouver « aucune trace d'un quelconque accord entre Indianapolis ou le comté de Marion et American Clean Energy Solutions ». Il en va de même pour le distributeur d'électricité de la région, Citizens Energy.
Le géant énergétique Covanta a déjà le monopole de la gestion des déchets à Indianapolis, ajoute son porte-parole James Regan. « S’ils [ACES] étaient des joueurs dans l’industrie, on le saurait assurément », dit-il.
L'Indianapolis Power & Light Company, un fournisseur d'électricité, confirme travailler avec ACES à des projets d’énergie solaire. Il ne s’agit toutefois pas de l'entreprise de M. Viau, mais d’une autre entreprise énergétique, américaine cette fois, ACES Power. La société porte le même nom, mais n’est pas affiliée à l’entreprise de M. Viau.
En Illinois, l’entreprise de René C. Viau dit plancher sur un projet de centrale de conversion des déchets du charbon minier de 200 MW. Toutefois, aucune entente du genre n'existe, d'après l'Illinois Environmental Protection Agency qui ajoute n'avoir eu aucun contact avec l’entreprise. « Un projet du genre nécessiterait un permis de notre bureau de la qualité de l’air », dit sa porte-parole Kim Briggs.
L’autre agence qui participerait à un tel projet, l’Illinois Power Agency, n’a jamais fait affaire avec ACES ni n'en a entendu parler, dit son premier conseiller juridique, Brian P. Granahan.
À Buffalo, où ACES dit plancher sur une usine de conversion des déchets de 100 MW, aucune entente n’a été signée avec la Ville, indique son porte-parole Mike DeGeorge. « On n’a jamais entendu parler d’ACES », dit-il. Même chose pour le comté d’Érié et pour le département de l’Énergie de l’État de New York.
Le comté d’Érié n’a, en fait, « aucunement l’intention d’autoriser la création d’une usine de conversion des déchets sur son territoire », dit son porte-parole Peter Anderson.
René C. Viau soutient pourtant que des ententes de principe ont été signées avec « certains partis », sans vouloir préciser leur nom. Il confirme qu’ACES développe notamment une technologie de conversion de fumier de porc en énergie de 100 MW en Caroline du Nord.
Un porc couvert de fumier dans un enclos.
Photo : CBC/George Mortimer
Pourtant, un tel projet n’a pas été soumis au North Carolina Department of Environmental Quality, l’agence qui donne le feu vert à ce type de projet dans cet État américain, explique sa porte-parole Christy Simmons. « J’ai vérifié auprès de toutes nos divisions et personne n’a entendu parler de cette compagnie. »
Une usine de conversion de fumier de porc de 100 MW serait d’ailleurs complètement irréaliste, soutient Mark Maloney, qui dirige Optima Biogas, le principal transformateur de fumier de porc en énergie en Caroline du Nord.
« La quantité de porcs requise pour un projet de 100 MW est absolument ridicule, et je dirais même impossible à réaliser. »
M. Viau balaie ces affirmations du revers de la main. « Je ne sais pas d’où ils prennent leurs informations, mais nos experts nous indiquent qu’on est capable de "modulariser" nos équipements pour répondre au volume requis. »
Green Rhino Energy Ltd, un autre compétiteur, remet en question la viabilité de projets d’ACES en Afrique, en raison, encore une fois, de leur volume.
Un calcul rapide, écrit son président Joachim Baumgaertner, permet par exemple de déterminer que le projet au Cameroun, qui comprendrait trois centrales de 200 MW, est « complètement irréaliste ».
« Ils auraient besoin de faire livrer 9000 tonnes de déchets à l'usine chaque jour. Yaoundé et Douala comptent 2,5 millions d’habitants. Au Cameroun, les déchets par habitant ne dépasseraient pas 0,35 kg par jour. Le projet nécessiterait une population de 25 millions d’habitants en supposant que l'usine puisse récupérer tous les déchets », écrit-il.
Sur son site web, ACES soutient travailler à 25 projets énergétiques, principalement en Afrique.
Photo : ACES
Le matériel promotionnel de Green Rhino Energy s’est d’ailleurs lui aussi retrouvé sur le site d’ACES. Joachim Baumgaertner s’est dit « estomaqué » par cet emprunt.
Le ministère de l’Énergie du Zimbabwe n’a pas de projet avec ACES, précise pour sa part la sous-ministre Magna Mudyiwa, qui n’a pas pu dire si des discussions avaient eu lieu avec ACES par le passé. Sur son site, ACES dit y développer un projet d’énergie solaire.
En Guadeloupe, où ACES dit aussi avoir un projet sans préciser lequel, le gouvernement n’a « aucune connaissance de cette affaire », dit Régis Desbonnes, directeur du département de l’Énergie.
En entrevue, M. Viau n’a pas répondu à ces allégations spécifiques, mais a rétorqué que « ce sont tous des projets qui ont été discutés avec les pays en question ».
« Je ne suis pas expert dans le contenu de son entreprise. Je ne suis pas au courant du dossier et je ne peux pas commenter », a réagi Luc Morin, directeur général de la Société économique de l’Ontario.
Luc Morin, qui a embauché René C. Viau, dit avoir consulté le site web d’ACES et constaté qu’il ne semblait pas y avoir « beaucoup d’activité ». Il soutient avoir interrogé M. Viau à ce sujet en entrevue et dit avoir été satisfait de sa réponse. « Il a dit qu’il y avait une équipe qui gérait cette entreprise-là. »
La SÉO n’a contacté aucun des ex-employeurs de René C. Viau, confirme Luc Morin. En guise de recommandation, Luc Morin a plutôt contacté trois « des contacts d’affaires » de M. Viau.
Luc Morin, directeur général de la Société économique de l’Ontario
Photo : Radio-Canada / Twitter/COO
Le président du conseil d’administration de la SÉO, Denis Laframboise, n’était pas disponible pour une entrevue. La majeure partie du financement de 3,4 millions de dollars accordé à la SÉO en 2018-2019 vient du fédéral, principalement d’Emploi et Développement social Canada.
Le reste du budget de la SÉO provient principalement de subventions du ministère du Tourisme, de la Culture et du Sport de l'Ontario.
ACES a élu domicile dans les bureaux du Rostie Group à Toronto, un service de sièges sociaux virtuels. Ses quelques employés sont largement répartis géographiquement.
Frank E. Tomori, qui est à la fois PDG et membre du conseil d’administration d’ACES, réside à Niagara Falls. Bien qu’il soit PDG et administrateur, il n’y a aucune trace d’ACES sur le profil LinkedIn de Frank E. Tomori.
Sur ce même profil, M. Tomori soutient plutôt être le vice-président d’Integrated Medical Technologies, un poste qu’il n’a pourtant jamais occupé, selon l’entreprise établie dans l’État de New York. M. Tomori n’a pas répondu à nos demandes répétées d’entrevue.
Jacques Charette et René C. Viau, respectivement directeur général et président de Francophonie en Fête
Photo : Radio-Canada / Myriam Eddahia
Le chef de la technologie à ACES est un consultant en énergies renouvelables basé en Italie, qui offre ses services à une multitude d’entreprises. Dale Simpson dit collaborer avec ACES depuis 2017. « J’aide ces compagnies à effectuer des études de faisabilité pour obtenir du financement pour des projets », dit-il.
ACES n’a pas 25 projets en cours, indique M. Simpson, mais plutôt 5 ou 6 soumissions en cours d’élaboration et des ententes de principe. « Nous avons soumis une proposition pour convertir des déchets de pétrole dans un pays du Moyen-Orient. Avec un peu de chance, ce sera le premier à démarrer. »
M. Viau rétorque que M. Simpson ne collabore pas à tous les projets d’ACES. La page Facebook d’ACES est vide de contenu et « aimée » par un seul internaute : René C. Viau.
Ce n’est pas la première fois que René C. Viau fait les manchettes depuis sa nomination à la SÉO. En juin, il avait été critiqué par des membres de la communauté après qu’ONFR eut révélé qu’il avait fait pression sur des fonctionnaires pour que certaines personnes soient nommées au Comité francophone de la Ville de Toronto.
Lire la suite mardi : Un organisme financé par Ottawa ne vérifie pas les antécédents de ses cadres
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