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Avec son premier téléviseur Mini-Led, Sony propose un modèle très lumineux offrant des angles de vision élargis et un filtre antireflet performant. Le tout en conservant les raffinements des téléviseurs haut de gamme de la marque nipponne, comme la télécommande rétroéclairée avec haut-parleur ou des micros intégrés. Suffisant pour rivaliser avec les modèles Oled et QD-Oled ?
Le Sony Bravia XR-65X95K embarque une dalle LCD VA 100 Hz Ultra HD équipée d’un filtre à boîte quantique (XR Triluminos Pro) pour augmenter la luminosité et reproduire un plus grand nombre de couleurs, notamment les plus saturées. Cette année, la nouveauté réside dans l’intégration d’un système de rétroéclairage composé de milliers de mini-leds qui remplacent les leds plus classiques habituellement placées derrière l’écran. C’est le premier téléviseur de Sony utilisant un système de rétroéclairage Mini-Led. Sur le papier, la technologie Mini-Led permet d’augmenter la luminosité maximale tout en réduisant l’effet de blooming (halo lumineux autour des objets clairs sur fond noir). Sony ne s’arrête pas là, puisque l’écran embarque également un filtre X-Wide Angle améliorant les angles de vision et un filtre X-Anti Reflection censé réduire les reflets. Bien évidemment, on retrouve les technologies du fabricant présentes sur les autres modèles haut de gamme comme les micros intégrés au téléviseur, la télécommande aux touches rétroéclairées avec un haut-parleur pour la retrouver plus facilement, le système audio Acoustic Multi-Audio ou encore Bravia Core, le service de streaming haute qualité réservé aux téléviseurs Sony.
Le téléviseur Sony Bravia XR-65X95K est vendu environ 3600 €. Il est également décliné en version 75 pouces (190 cm – XR-75X95K) et 85 pouces (215 cm – XR-85X95K) aux tarifs respectifs de 5000 et 6600 €.
Le Sony Bravia XR-65X95K embarque une dalle Ultra HD qui intègre un nouveau filtre antireflet X-Anti Reflection et X-Wide Angle réduisant les reflets et améliorant les angles de vision, mais réduisant également le contraste natif.

Le filtre optique permet de réduire les reflets et d'améliorer les angles de vision.

Le filtre optique permet de réduire les reflets et d’améliorer les angles de vision.

Le filtre optique permet de réduire les reflets et d’améliorer les angles de vision.

En effectuant la mise au point juste derrière le filtre, on distingue la forme des sous-pixels, qui confirme l'utilisation d'une dalle LCD de type VA, gage d'un bon contraste, quoique...

En effectuant la mise au point juste derrière le filtre, on distingue la forme des sous-pixels, qui confirme l’utilisation d’une dalle LCD de type VA, gage d’un bon contraste, quoique…

En effectuant la mise au point juste derrière le filtre, on distingue la forme des sous-pixels, qui confirme l’utilisation d’une dalle LCD de type VA, gage d’un bon contraste, quoique…
L’utilisation d’une dalle LCD de type VA se traduit normalement par un bon taux de contraste natif, mais le filtre utilisé par Sony réduit sérieusement celui de la dalle. Heureusement, le système de rétroéclairage Mini-Led permet de compenser ce défaut par un contraste dynamique localisé, malgré un peu de blooming. En revanche, le filtre X-Wide Angle améliore énormément les angles de vision, puisque nous avons mesuré une perte de luminosité de seulement 38 % à 45°, alors que les autres téléviseurs équipés d’une dalle VA sans filtre dédié affichent une perte de luminosité de 70 %.
Chez Sony, c’est le mode Expert qui offre la meilleure qualité d’image par défaut. Avec un Delta E inférieur à 3 (2,4), les couleurs affichées peuvent être considérées comme fidèles à celles envoyées par la source alors que la courbe de gamme (niveaux de gris) suit très bien la courbe de référence. La température des couleurs est — comme c’est de coutume chez Sony — un peu trop chaude (7200 K) par rapport aux 6500 K de référence, ce qui se traduit par un rendu tirant légèrement vers le bleu. Enfin, le point décevant est le contraste natif, qui ne dépasse pas un taux de 2180:1. Heureusement que le système Mini-Led est assez précis pour obtenir un contraste dynamique convaincant, au prix d’un effet de blooming (effet de halo autour des objets clairs sur un fond sombre) tout de même visible. Pour autant, la qualité d’image en SDR reste très bonne.
Le Sony Cognitive XR Processor est toujours aussi performant, mais il n’est véritablement exploité au maximum qu’en mode Intense, où la fidélité de l’image est trop fantaisiste. Les plus courageux pourront se rendre dans les réglages avancés pour améliorer la netteté de l’image ou augmenter le niveau de détails à l’aide du moteur X-Reality Creation Pro. Le moteur de compensation de mouvement XR Motion sur cette dalle LCD est très efficace, et améliore efficacement la netteté des objets en mouvement.
Le Sony 65X95K est compatible avec le HDR10, le HLG et le Dolby Vision, mais Sony fait toujours l’impasse sur le HDR10+ promu par Samsung et Panasonic.
Le rendu en HDR est tout simplement excellent. La courbe EOTF de référence (en jaune) est parfaitement suivie jusqu’à 75 % de luminance, avant de lisser très légèrement le signal afin de conserver les détails dans les zones très lumineuses de l’image. Grâce au système de rétroéclairage Mini-Led, le pic de luminosité atteint 1456 cd/m². C’est beaucoup plus que les derniers téléviseurs Oled comme le LG 65C2 mesuré à 804 cd/m², et toujours meilleur que le plus lumineux des modèles Oled (le Panasonic TX-65JZ2000 avec son pic à 962 cd/m²). Ce téléviseur Mini-Led fait également bien mieux que le téléviseur QD-Oled de Sony, le 55A95K avec son pic à 965 cd/m², mais ce dernier affiche des couleurs plus saturées et un contraste infini très marquant, surtout en HDR. Le Bravia X95K s’offre en plus le luxe de fournir des couleurs parfaitement justes en HDR, et couvre la quasi-totalité de l’espace colorimétrique DCI-P3, majoritairement utilisé par les films et séries TV.
Au final, la qualité d’affichage en HDR est quasiment parfaite. Le pic de luminosité apporte une vraie dynamique à l’image et le seul défaut que pourrait rencontrer ce téléviseur est un manque de contraste natif dans certaines scènes.
Le temps de rémanence, mesuré à 12 ms, est très bon pour un téléviseur LCD et se traduit par assez peu d’effet de flou derrière les objets en mouvement. Les meilleurs LCD du marché, comme les Samsung QE65Q80A ou Sony KD-65XH9096, descendent à 11 ms, mais aucun téléviseur LCD ne peut concurrencer les téléviseurs Oled dont le temps de rémanence est quasi nul (0,1 ms). Si certains téléviseurs Sony arrivent à descendre sous les 16 ms (moins d’une image de retard à 60 Hz), comme le modèle QD-Oled A95K ou encore le TV Oled Sony A90J, ce Bravia X95K se contente d’un retard à l’affichage de 20,1 ms, ce qui se traduit par un peu plus d’une image de retard par rapport à la source. Heureusement, en pratique, il n’y a quasiment aucun décalage entre l’action effectuée à la manette à sa répercussion à l’écran.

XR-65X95K : le premier téléviseur Mini-Led impressionnant de Sony

Comme souvent chez Sony, le mode Jeu est parfaitement calibré, que ce soit en SDR ou en HDR.
Ce téléviseur dispose de quatre entrées HDMI, dont trois compatibles HDMI 2.1 4K 120 Hz, ALLM (Auto Low Latency Mode, qui autorise le passage automatique en mode jeu), et VRR (Variable Refresh Rate, une technologie qui supprime le déchirement de l’image et les saccades). Attention tout de même, il faut activer la fonctionnalité VRR (Variable Refresh Rate) manuellement (Chaînes et entrées > entrées externes > Format du signal HDMI).

La signature thermique du téléviseur.

La signature thermique du téléviseur.

La signature thermique du téléviseur.
L’utilisation d’un système de rétroéclairage Mini-Led limite les risques de clouding, mais ce défaut peut tout de même se présenter si le filtre de répartition de la lumière est endommagé lors du transport. Sur notre modèle de test, nous n’avons pas constaté de problème particulier. Selon notre comptage, le téléviseur possède environ 400 zones de rétroéclairage (chiffre qui atteindrait 512 sur le modèle 75 pouces et 720 pour le modèle 85 pouces). L’homogénéité de la luminosité sur la dalle est bonne, et l’écart moyen est mesuré à seulement 6 % sur cette dalle de 65 pouces. Ce résultat est très bon, surtout pour un modèle de cette diagonale.

Mesure de la réflectance exprimée en pourcentage par rapport à un miroir

Mesure de la réflectance exprimée en pourcentage par rapport à un miroir

Mesure de la réflectance exprimée en pourcentage par rapport à un miroir
Le filtre antireflet utilisé par Sony est tout simplement excellent. Il permet de diluer la plupart des lumières parasites lorsque l’on est en face du téléviseur. Ce Bravia XR-65X95K parvient à faire quasiment aussi bien que les références de la catégorie (les Samsung Q950TS et 65QN95A). Surtout, il fait mieux sur ce point que les téléviseurs Oled.

Le téléviseur Sony Bravia XR-65X95K.

Le téléviseur Sony Bravia XR-65X95K.

Le téléviseur Sony Bravia XR-65X95K.
Le téléviseur Sony Bravia XR-65X95K arbore un design assez classique, mais haut de gamme, comme en témoignent des finitions impeccables.

Les bords d'écran.

Les bords d’écran.

Les bords d’écran.
Les bords de l’écran ne sont pas particulièrement fins, mais l’assemblage est parfaitement réalisé. Pour un modèle encore plus fin, il faut se tourner vers les téléviseurs Oled.

Le téléviseur de face et de profil.

Le téléviseur de face et de profil.

Le téléviseur de face et de profil.
Le système de rétroéclairage Mini-Led composé de 384 zones n’est pas beaucoup moins encombrant qu’un système de rétroéclairage Full Led classique. Sans son pied, le téléviseur affiche une épaisseur de 6 cm. L’encombrement sur le meuble TV est pour sa part toujours lié aux pieds, dont la profondeur est ici de 34,3 cm. Ce modèle est donc parfaitement adapté à notre meuble TV de référence, qui mesure 160 x 40 cm.

Les différentes positions des pieds.

Les différentes positions des pieds.

Les différentes positions des pieds.
Les pieds peuvent être placés au centre — comme nous l’avons fait —, mais aussi aux extrémités du téléviseur. Dans cette dernière position, ils peuvent être positionnés différemment afin de surélever le téléviseur de quelques centimètres afin de disposer une barre de son.

L'arrière du téléviseur sans les caches.

L’arrière du téléviseur sans les caches.

L’arrière du téléviseur sans les caches.

Le même entièrement caréné.

Le même entièrement caréné.

Le même entièrement caréné.
L’arrière du téléviseur est entièrement caréné afin de masquer la connectique. Les câbles circulent à l’arrière via des guides. C’est assez basique, mais efficace. En revanche, il n’y a pas de système de clips sur les pieds. Les pas de vis à l’arrière sont compatibles avec les supports muraux VESA 300 x 300.

La connectique.

La connectique.

La connectique.
La connectique se compose de quatre HDMI, dont deux HDMI 2.1 (4K 120 Hz, ALLM, VRR, eARC), deux ports USB dont un USB 3.0, un port Ethernet, une sortie audio numérique optique, une entrée composite (en jaune) et S-Center, un port PCMCIA (Interface commune CI+), un connecteur d’antenne râteau et un connecteur satellite. Le Bravia 65X95K dispose d’un double tuner DVB-T/T2 (TNT), DVB-S/S2 (satellite) et DVB-C (câble). Il embarque également le wifi 802.11a/b/g/n/ac ainsi que le Bluetooth 4.2 pour la connexion avec un périphérique audio sans-fil (casque ou enceinte).

XR-65X95K : le premier téléviseur Mini-Led impressionnant de Sony

L'interface de Google TV.

L’interface de Google TV.

L’interface de Google TV.
Ce téléviseur embarque Google TV — une version relookée d’Android TV — qui conserve heureusement toutes les apps d’Android TV et met l’accent sur les contenus. Le système agrège ainsi tous ceux auxquels il a accès et auxquels on est abonné, qu’il s’agisse de contenus gratuits (YouTube, France TV, Arte, Molotov…) ou payants (MyCanal, Netflix, OCS, Amazon Prime, Disney+, etc.) afin de proposer des choix en fonction des goûts, quelle que soit la plateforme. Le système Google semble enfin arriver à maturité. Il est fluide et réactif, les plantages et autres gels semblant relégués au passé. Sony a eu la bonne idée de conserver une barre de réglages en surimpression, qui évite d’aller fouiller dans les menus de Google pour modifier les réglages. Ce téléviseur embarque également Bravia Core — le service de streaming haute qualité exclusif de Sony — avec deux ans d’abonnement offerts.
Après un passage en revue des différentes fonctionnalités de Bravia Core, le service SVoD de Sony intégré à sa gamme de téléviseurs XR, v…

Les micros intégrés pour un contrôle mains-libres. La diode orange indique que le micro mains-libres est activé, la diode blanche indique que Google Assistant est à l'écoute.

Les micros intégrés pour un contrôle mains-libres. La diode orange indique que le micro mains-libres est activé, la diode blanche indique que Google Assistant est à l’écoute.

Les micros intégrés pour un contrôle mains-libres. La diode orange indique que le micro mains-libres est activé, la diode blanche indique que Google Assistant est à l’écoute.
Comme le ZF9, l’AG9, l’A90J et le dernier QD-Oled A95K, le Sony X95K intègre deux micros situés à la base du téléviseur. Ils permettent d’utiliser l’Assistant Google sans télécommande. La fonction “Ok Google” est utilisable même quand le téléviseur est éteint et il est donc possible de l’allumer sans les mains, simplement en prononçant la phrase “Ok Google, allume la TV”. Il est possible de désactiver le micro grâce à l’interrupteur situé au niveau de la connectique.
Comme sur tous les téléviseurs Android TV, le premier démarrage est plus long. Il faut ici compter 37 secondes. Ce démarrage commence dès le branchement au secteur. Le téléviseur affiche le logo Sony pendant 20 à 25 s, avant de laisser la place au logo Android. Le démarrage est beaucoup plus long que celui des systèmes Tizen de Samsung ou WebOS de LG, qui eux démarrent en moins de 5 s. Heureusement, le téléviseur sort de veille en 6 s, tout en consommant moins d’un watt en veille (si la fonction mains-libres est désactivée). Comme souvent, la mise en veille est instantanée.

Les deux télécommandes fournies.

Les deux télécommandes fournies.

Les deux télécommandes fournies.

Et de nuit grâce à son capteur de mouvements, de luminosité et ses touches rétroéclairées.

Et de nuit grâce à son capteur de mouvements, de luminosité et ses touches rétroéclairées.

Et de nuit grâce à son capteur de mouvements, de luminosité et ses touches rétroéclairées.
La nouvelle télécommande, plus petite, bénéficie toujours d’une finition en aluminium. Elle perd le pavé numérique, mais conserve le système de rétroéclairage automatique des touches activé grâce à un capteur de luminosité et de mouvements. Les boutons ne font pas de bruit et les plus utilisés tombent naturellement sous le pouce. Elle intègre désormais un haut-parleur afin d’être retrouvée facilement via l’unique bouton du téléviseur ou via la commande vocale “Ok Google où est la télécommande ?”, disponible grâce aux micros intégrés directement dans le TV. La seconde télécommande est quant à elle des plus basiques.
Ce téléviseur exploite un système audio baptisé Acoustic Multi-Audio qui se compose de deux tweeters, de deux haut-parleurs à large bande et de deux “caissons de basses”. Le rendu est bon, mais pourrait être meilleur au regard de la taille du téléviseur et de l’espace disponible pour placer des haut-parleurs de plus grand diamètre. Le système prend en charge le Dolby Atmos, mais là encore le rendu n’est pas forcément convaincant, avec une spatialisation du son approximative.

La réponse en fréquence.

La réponse en fréquence.

La réponse en fréquence.
Avec un blanc calibré à 150 cd/m², le Sony XR-65X95K consomme 95 W sur notre mire de test, soit une consommation relative de 81,6 W/m², largement inférieure à la moyenne des téléviseurs testés (100 W/m²). Le modèle Sony reste plus gourmand que le téléviseur Mini-Led de Samsung, le Neo Qled QE65QN95A avec ses 70,4 W/m², mais fait jeu égal avec le modèle Mini-Led de TCL, le 65C65C825 (81,6 W/m² également). À titre de comparaison, les téléviseurs Oled consomment désormais moins de 100 W/m², et les téléviseurs LCD Edge-Led (une seule barre de leds à la base du téléviseur) comme le Samsung QE65Q60R se contentent de 66,1 W/m² — voire 55,8 W/m² pour le téléviseur le plus économe de notre comparatif, le Sony KD-65XG8505. La consommation en veille est toujours inférieure à 1 W.
Le Sony 65X95K affiche un indice de réparabilité de 6,6/10. Avec une note de 20/20, la disponibilité des pièces est assurée. En revanche, Sony écope d’un 0/20 pour le prix des pièces détachées, ce qui signifie que les pièces sont beaucoup trop chères par rapport au prix du téléviseur neuf ou que Sony refuse tout simplement de communiquer les tarifs de ses composants. Sony perd également des points sur la disponibilité de la documentation technique et d’entretien.

Nous avons réglé le téléviseur Sony Bravia XR-55A95K en mode Filmmaker puis baissé la luminosité à 11 afin d’obtenir un blanc proche des 150 cd/m² en SDR. Pour les contenus HDR, il convient de garder la luminosité au maximum pour profiter des contenus. Concernant le moteur de compensation de mouvement MotionFlow, le mode Expert permet de limiter le flou de mouvement tout en conservant la cadence de 24 i/s du cinéma. Enfin, n’oubliez pas de débrider les ports HDMI (Chaînes et entrées > Entrées Externes > Format du signal HDMI > Format amélioré).
| — | — |
| Contraste mesuré |2170:1 |
| Noir | 0,06 cd/m² |
| Qualité du gamma | 5/5 |
| Delta E | 2,4 |
| Écart d’homogénéité de la dalle | 6 % |
| Angles de vision | 4/5 |
| Consommation | 95 W |
Le Sony Bravia XR-65X95K est un très bon téléviseur Ultra HD. Son système de rétroéclairage Mini-Led lui permet d’afficher un pic de luminosité sublimant les contenus HDR. Le filtre optique fait aussi des prouesses en améliorant les angles de vision et en réduisant les reflets, mais le revers de la médaille est l’impact négatif sur le niveau des noirs, un peu moins profonds que sur les autres modèles Mini-Led. Doté de nombreuses fonctionnalités (contrôle mains-libres, télécommande rétroéclairée, Bravia Cam, HDMI 2.1), le Bravia X95K conviendra parfaitement à ceux qui cherchent un téléviseur lumineux à placer dans une pièce de vie baignée de lumière. Assez polyvalent, il est aussi performant dans les jeux que pour afficher films et séries TV. Reste qu’il est malgré tout possible de trouver mieux en termes de qualité d’image, notamment du côté des modèles Oled et QD-Oled.
Chef de service TV. Le pixel est son unité, la sonde, son arme de prédilection. Entre deux impressions, il décortique les téléviseurs et les moniteurs pour savoir ce qui s’y cache.
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