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Notre équipe traque les fausses informations qui se propagent sur les réseaux sociaux. Sa mission? Combattre la désinformation et mettre en lumière les recoins les plus sombres du web. Pour nous contacter : decrypteurs@radio-canada.ca.
Des vidéos mises en ligne sur la chaîne YouTube de Pierre Poilievre contenaient un mot-clic caché misogyne.
Un bulletin de vote peut être rejeté s’il est marqué au stylo.
Décrypteurs est l’équipe de Radio-Canada qui lutte contre la désinformation. Sa mission : aider les citoyens à démêler le vrai du faux
Voici des trucs, conseils, astuces et concepts pour vous prémunir contre les fausses nouvelles.
Cette fonctionnalité peu connue du site web d'hébergement de vidéos est sous le feu des projecteurs depuis qu'un mot-clic caché misogyne a été découvert dans des vidéos du chef conservateur Pierre Poilievre.
Le chef conservateur Pierre Poilievre a essuyé jeudi une pluie de critiques des députés libéraux après que le réseau Global eut révélé qu’une cinquantaine de vidéos mises en ligne sur la chaîne YouTube de M. Poilievre contenaient le mot-clic caché « MGTOW », le sigle d’un mouvement en ligne misogyne.
Un texte de Nicholas De Rosa
Le nom officiel de ces mots-clics cachés est « tag », ou une balise. Selon une fiche explicative de YouTube, afficher le code source de la page. Les balises sont identifiées dans ce code source comme des vidéo mise en ligne cette semaine par la Ligue nationale de hockey qui présente des faits saillants d’un match opposant les Canadiens de Montréal et les Sénateurs d’Ottawa contient des balises comme hockey, match de hockey, hockey sur glace 2022 et faits saillants hockey. Une récente vidéo de Pierre Poilievre contient des balises comme politique canadienne, chambre des communes et parlement du canada.

Capture d'écran du code source d'une vidéo YouTube de Pierre Poilievre.

Les balises sont visibles en examinant le code source des vidéos YouTube. Photo : Capture d’écran

Bien que les balises contribuent à améliorer le référencement d’une vidéo, leur efficacité est assez limitée, selon YouTube. la fiche explicative de YouTube sur les tags.
Les balises ne sont pas générées automatiquement : le créateur d’une vidéo peut les entrer manuellement lors du processus de mise en ligne.
Il est d’ailleurs interdit d’ajouter un nombre excessif de balises à une vidéo, selon les règles de YouTube concernant les pourriels, les pratiques trompeuses et les escroqueries.
Les mots-clics cachés ne sont pas propres à YouTube. Facebook permet également aux créateurs d’ajouter jusqu’à huit balises aux vidéos mises en ligne sur sa plateforme.
Les décès sont plutôt survenus depuis la fin de 2020.
Les participants à ces faux concours s'exposent à un vol de leurs données personnelles.
L'article a été partagé près de 4000 fois sur Facebook, rapportent les Décrypteurs.
Les médias sociaux ont révolutionné le marketing politique. Difficile désormais de faire campagne sans eux.
L’opération était gérée depuis les États-Unis, mais il impossible de savoir si l'État se cache derrière.
Certaines vidéos, associées à de l’intimidation d’adolescents, cumulent plus de 10 000 vues sur la plateforme.
Des experts estiment que le groupe de pression et le parti politique se coordonnent sur les réseaux sociaux.
Grâce aux données de géolocalisation, des applications ont accès à une multitude de renseignements sur vous.
Émission du 16 avril 2022
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Parcourez nos ateliers thématiques pour mieux vous outiller contre les fausses nouvelles qui circulent sur le web.
Ce mouvement conspirationniste, qui a subi le couperet de Facebook, gagne malgré tout en popularité.
Les fausses nouvelles sont généralement alimentées par nos craintes et nos frustrations.
L’existence de complots dans l’histoire ne signifie pas que toutes les théories du complot sont plausibles.
Alexis est journaliste à Radio-Canada depuis 2004. Il a été tour à tour reporter, chroniqueur à la revue de presse à RDI Matin et chef d’antenne à ICI RDI. Il a aussi été envoyé spécial à Washington pour couvrir l’investiture de Donald Trump et chef d’antenne aux JO de Rio et Pyeongchang.
Marie-Pier est journaliste scientifique depuis plus de 20 ans. Tour à tour animatrice, chroniqueuse et reporter, à la télévision, à la radio et à l’écrit, ses talents de vulgarisatrice ont été récompensés par de nombreux prix. Elle coanime le magazine Le Gros laboratoire et collabore chaque semaine à l’émission de radio Les Années lumière.
Jeff couvre la désinformation sur le web depuis la création du blogue Inspecteur viral en 2014, ce qui en fait l’un des premiers journalistes au Québec à s’intéresser aux fausses nouvelles. Il a été invité de nombreuses fois à titre de conférencier et d’expert pour expliquer le phénomène.
Nicholas est journaliste depuis 2016. Il baigne depuis longtemps dans la cyberculture et s’intéresse aux phénomènes propres au web. Il a signé plusieurs articles sur la radicalisation en ligne et la désinformation avant de couvrir l’actualité technologique pour Radio-Canada.
Alexis est journaliste à Radio-Canada depuis 2004. Il a été tour à tour reporter, chroniqueur à la revue de presse à RDI Matin et chef d’antenne à ICI RDI. Il a aussi été envoyé spécial à Washington pour couvrir l’investiture de Donald Trump et chef d’antenne aux JO de Rio et Pyeongchang.
Marie-Pier est journaliste scientifique depuis plus de 20 ans. Tour à tour animatrice, chroniqueuse et reporter, à la télévision, à la radio et à l’écrit, ses talents de vulgarisatrice ont été récompensés par de nombreux prix. Elle coanime le magazine Le Gros laboratoire et collabore chaque semaine à l’émission de radio Les Années lumière.
Jeff couvre la désinformation sur le web depuis la création du blogue Inspecteur viral en 2014, ce qui en fait l’un des premiers journalistes au Québec à s’intéresser aux fausses nouvelles. Il a été invité de nombreuses fois à titre de conférencier et d’expert pour expliquer le phénomène.
Nicholas est journaliste depuis 2016. Il baigne depuis longtemps dans la cyberculture et s’intéresse aux phénomènes propres au web. Il a signé plusieurs articles sur la radicalisation en ligne et la désinformation avant de couvrir l’actualité technologique pour Radio-Canada.
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