Contribuez à votre édition !
Je soutiens !
L’actualité locale et internationale pour les expatriés français et les francophones
Le précieux sésame sera délivré pour une période allant de deux à trois ans aux diplômés des meilleures universités du monde. En France, seuls les étudiants de Paris Sciences et Lettres sont concernés.
 
Ce nouveau programme, destiné à attirer les jeunes actifs les plus prometteurs dans leur domaine professionnel, sera accessible aux anciens étudiants ayant obtenu leur diplôme au cours des cinq dernières années. Aucune offre d’emploi n’est requise pour postuler. Les personnes intéressées peuvent candidater directement en ligne.
 
Pour être éligibles, les demandeurs doivent justifier aux exigences britanniques en termes de sécurité et de criminalité, et maîtriser l’anglais au moins au niveau B1, défini par le British Council comme ayant « la capacité d’échanger sans effort avec des locuteurs natifs ». Les candidats retenus devront ensuite débourser £715 pour obtenir leur visa, en plus de la taxe de santé nécessaire pour bénéficier des services de soins du pays, tandis que le dépôt d’au minimum 1 270£ sterling sur leur compte bancaire leur sera aussi demandé. Les étudiants ayant validé une licence ou un master pourront rester deux ans sur le sol britannique, contre trois pour ceux titulaires d’un doctorat.
 
Parmi les trente-sept établissements retenus par le Royaume-Uni dans le cadre de ce nouveau programme figurent notamment vingt campus américains, dont Harvard, Princeton et Stanford. Pour figurer dans cette liste – qui varie en fonction des années –, les universités doivent apparaître dans le top 50 d’au moins deux des principaux classements mondiaux en la matière, soit le Times Higher Education, le Quacquarelli Symonds World University Rankings ou l’Academic Ranking of World Universities. En France, seule l’université Paris Sciences et Lettres répond pour le moment à cette exigence.
 
Si ce nouveau visa ne permet donc qu’à une infime partie des jeunes diplômés de postuler, la ministre de l’Intérieur, Priti Patel, a néanmoins tenu à défendre une réforme juste « dans le cadre du système d’immigration à points qui accorde la priorité aux capacités et au talent, et non à l’origine d’une personne ». Pour rappel, plusieurs milliers d’universitaires étrangers ont déjà quitté le Royaume-Uni depuis le Brexit.
 
Eurostar tisse sa toile sur le sol européen avec de nouvelles destinations
Parlons tech, numérique et pédagogie avec le Lycée International Winston Churchill
Pas encore ouverte, Union School Paris a déjà forgé une vraie communauté
Colin Porhel
En contribuant, vous participez à garantir sa qualité et son indépendance.
Merci !
De la part de toutes les équipes de Lepetitjournal.com
Fatberg: pourquoi les repas de fin d’année pourraient tourner au drame au Royaum…
Londres
Les marbres du Parthénon exposés au British Museum « bientôt » renvoyés en Grèce

Idées de dernière minute : où fêter le nouvel an à Londres ? 

Irlande du Nord: Bruxelles et Londres sur le chemin d’un accord 

Amour, Ukraine et Elizabeth II pour le feu d’artifice du 31 décembre à Londres

Grand retour du jeu Adibou : enfants et parents ne boudent pas leur plaisir
Londres
Expatriés, participez aux Trophées des Français de l’étranger 2023 !
Quel est le meilleur placement anti-crise ?
Quelles sont les villes les plus chères pour les expatriés en 2023 ?
WEBINAR- Investir en France en 2023 : perspectives, conseils et pièges à éviter
Tortuga Casino : Notre avis 2023 sur le Casino en ligne Tortuga
Grand retour du jeu Adibou : enfants et parents ne boudent pas leur plaisir
Le Suppléant : toutes les révélations de l’autobiographie du Prince Harry
Idées de dernière minute : où fêter le nouvel an à Londres ? 
Qui est Emma d’Arcy, l’interprète de Rhaenyra Targaryen dans House of the Dragon ?
Amour, Ukraine et Elizabeth II pour le feu d’artifice du 31 décembre à Londres
Téléchargez notre application mobile !

source

Catégorisé: