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SOMMAIRE DE L'ARTICLE
Toutes les mesures prises dans le monde entier pour limiter le développement du coronavirus (Covid-19) ont mis en place une nouvelle réalité basée sur le virtuel à cause des confinements et des lieux d’échange dorénavant clos.
Une des conséquences majeures est la croissance exponentielle de l’addiction aux réseaux sociaux et aux écrans. La France est également touchée comme bon nombre d’autres pays et les conséquences peuvent être lourdes. Il y a toutefois des pistes à explorer pour se sortir de ce genre d’addiction et retrouver une consommation raisonnable des réseaux sociaux.
 
La plupart des pays ont pris des mesures assez proches pour éviter la propagation du virus responsable de la Covid-19, à savoir :
Toutes ces mesures ont en commun qu’elles empêchent plus ou moins les relations humaines traditionnelles et les rencontres. De plus, elles accordent une place plus importante à tout ce qui peut être réalisé à distance via internet.

Il n’est alors pas surprenant que l’utilisation de smartphones, tablettes et ordinateurs ait énormément augmenté par rapport aux années précédentes à la pandémie. Si ces outils ont acquis un rôle essentiel dorénavant, ils sont aussi très vite devenus des compagnons un peu trop présents.
Les applications de réseaux sociaux sont aujourd’hui prioritaires pour les personnes qui ne souhaitaient pas être éloignées de leur environnement social traditionnel, mais aussi pour nouer de nouvelles relations, voire se réfugier dans un monde virtuel quelquefois plus rassurant que le monde réel.
 
Selon l’institut Omdia, le trafic Internet mondial a progressé de 70% dans les régions du globe où le confinement était en place. Ce sont le streaming vidéo, les réseaux sociaux et le commerce électronique qui ont été les domaines les plus impactés.
Pour les réseaux sociaux, en France, WhatsApp, Facebook ou TikTok ont connu des progressions de 15 à 40 % selon les classes d’âge.
En fait, la consommation des médias augmente dans tous les canaux de communication à domicile et ceci se traduit aussi par un engagement plus fort. Par rapport aux taux de clics habituellement constatés, les chiffres étaient globalement en hausse de 60 %.
Enfin, les durées de connexion étaient aussi plus importantes. Une plateforme comme YouTube, très prisée en France, a pu voir sa durée moyenne de session augmenter de 10 à 20 % selon l’intensité des périodes de confinement.
 
L’addiction aux réseaux sociaux et leur consommation croissante n’est pas sans poser de problèmes. On peut même recenser déjà de nombreuses conséquences établies par des médecins ou des psychothérapeutes.
 
La première des solutions est bien souvent la prise de conscience. Elle peut venir de l’entourage qui doit rester vigilant et ne pas hésiter à avertir.
Elle peut également provenir des médias, d’articles lus ou même de films documentaires comme The Great Hack ou comme Derrière nos écrans de fumée (The Social Dilemma). Ces 2 documentaires présentés sur Netflix, sont très bien réalisés et ils éclairent parfaitement ces problèmes.

Au rayon des solutions pratiques, il y a aussi le contingentement : c’est-à-dire décider de plages horaires restreintes aux réseaux sociaux et s’y tenir pour éviter de tomber dans l’abus. Il est possible aussi, malgré la pandémie, de prévoir des activités entre amis en extérieur (pour éviter tous risques) et qui seront certainement des bouffées d’air pur pendant une telle période.
Enfin, il est également envisageable de promouvoir d’autres activités de loisirs comme la lecture, le visionnage de films, les jeux de société ou encore la pratique d’arts plastiques.
En dernier recours, pour les personnes qui ne peuvent se maîtriser, il faudra peut-être faire des choix. Là où vous avez une multitude de comptes sur de nombreux réseaux sociaux, il vous faudra peut-être en supprimer quelques-uns et garder les plus importants : c’est une bonne méthode de sevrage qui devrait limiter votre temps de dépendance.
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