Numérique à la mode pour améliorer la visibilité des marques sur les moteurs de recherche
Sur le web, les particuliers ont aujourd’hui la possibilité de constituer des logiques de communication et de promotion. Ces actions étant jusqu’alors destinées aux entreprises et autres organisations.
S’ils ne sont pas forcément conscients, leur action et la manière dont ils traitent les sujets spécialisés entraînent la propagation de mythes dans l’univers professionnel.
À quel moment un particulier prétend-il être un expert SEO ? Quels systèmes favorise sa condition de faux expert, et quelles sont les conséquences sur les pratiques professionnelles ?

Si la compréhension de l’outil web est assez simple, les logiques à l’œuvre au niveau des communautés exigent un certain temps d’observation. C’est pourquoi, si vous souhaitez bénéficier d’une certaine notoriété grâce au web, vous devez vous armer de patience et de prudence.
Sauf bien sûr si vous êtes un grand spécialiste reconnu en dehors du web, dans ce cas, vous pouvez vous considérer directement comme étant un expert.
Généralement, un nouvel arrivant dépourvu de tout objectif stratégique est considéré comme un observateur. Il ne s’agit pas là d’être passif. Cela concerne différents processus de sélection et de mise en veille de sites et de blogs spécialisés.
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On évalue dans un premier temps la qualité du contenu. On mesure ensuite la qualité des interactions entre l’éditeur d’un site référent, ses visiteurs et ses partenaires. Dès que ce travail a débuté, on commence normalement à participer.
Dans la participation, il s’agit principalement de publier un commentaire, relayer l’information sur les réseaux sociaux et parfois collaborer. C’est une phase importante puisque c’est grâce à cette participation que les internautes commenceront à vous identifier.
Ils peuvent ainsi juger la qualité de vos interventions et interagir avec vous. Ces échanges et cette veille permanente vous permettront d’être toujours informé de l’actualité de votre sujet de prédilection.
De manière générale, une personne qui dispose de bonnes compétences en veille, en synthétisation et qui a pas mal de temps libre, peut prétendre (comme beaucoup d’autres avant) être un expert sur le web. Et cela est dû à deux raisons.
En effet, plus vous postez de contenu (même s’ils n’ont aucune valeur ajoutée), plus le nombre de lecteurs sera important. Toutefois, vous devez être prudent sur les données que vous collectez sur ces visiteurs. Il faut savoir que vous n’aurez pas la capacité de définir l’état des connaissances de la plupart d’entre eux.
Ceux qui postent des commentaires ou qui interagissent avec vous ne sont pas du tous représentatifs. Finalement, le nombre de visites ne peut déterminer votre expertise. C’est l’évaluation de vos pairs qui peuvent réellement le définir.
Il faut noter que l’environnement physique est bien différent de l’environnement web. Plus on est présent sur le web, plus on a tendance à créer, établir et échanger des informations avec différents éditeurs de blogs et des sites.
Sur le web, l’expert est souvent considéré plus comme passionné que d’hyper spécialiste. Ce raisonnement a été favorisé par une certaine lenteur des annonceurs, des institutions et d’une grande partie de journalistes à s’intéresser au web.
Ces derniers, présentant de fortes logiques rationalisantes et entropiques, ont recherché les compétences sur le web comme les organisations, c’est-à-dire le plus rapidement possible. Quelques mots entrés dans le moteur de recherche, un ou deux jours de recherche, différentes pages de contenus suffisent à établir des experts.
Le problème avec les faux experts, c’est qu’ils ne sont pas forcément de mauvaise foi. Ils ne disposent juste pas des logiques et des habitudes des professionnels. En effet, ces soi-disant experts tirent leur inspiration principalement du web. Il faut savoir que ces personnes ne reçoivent pas de rémunération pour la production de leur savoir. Ils ne sont donc pas confrontés aux exigences directes du client.
Leur connaissance sur l’univers de l’entreprise concerne juste les cas pratiques et exemples partagés par la majorité des grands groupes. En relayant les initiatives des grandes entreprises et en hurlant à la bonne pratique, ils vont provoquer un double effet négatif.
D’un côté, les annonceurs, voyant les annonces des grands groupes, se compareront à eux et ne souhaiteront pas réaliser des publicités sur les médias sociaux. D’un autre côté, les annonces les plus crédules vont arriver avec une enveloppe limitée en souhaitant le même résultat. C’est alors toute la dimension locale proposée par les médias sociaux qui est rejetée.
Le fait est que ces producteurs de mythes courent souvent après le scoop et rassemble plusieurs informations quantitatives brutes et informations qualitatives (nécessitant des analyses). Cela entraîne des conséquences dangereuses : celle qui sous-entend que la technique définit les usages. En d’autres termes, ce qui se passe aux Etats-Unis devra se passer en France.
La différence avec un vrai spécialiste est que celui-ci prend le temps d’analyser, d’interroger les éléments, de tenter de dessiner des outils et des usages à venir et de faire des hypothèses.

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