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Les rétrospectives de l’année se suivent mais ne se ressemblent pas toujours. Après les moments forts de Facebook, Twitter, YouTube ou encore Yahoo, c’est au tour de LinkedIn de présenter son récapitulatif de 2014. Il permet mieux cerner le profil des pros les plus prisés en 2014. Voici les compétences les plus présentes dans les profils des membres recrutés durant l’année.
Cette année, les statistiques et le Data Mining sont à l’honneur ! Suivent l’intégration, le stockage, les réseaux, la sécurité informatique, le référencement naturel et, d’une manière plus générale, le SEM. L’an dernier, le Social Media Marketing était la compétence la plus demandée sur LinkedIn. Elle a totalement disparu du classement. Cependant, LinkedIn explique avoir totalement changé sa méthodologie pour réaliser ce top 25 et que les classements 2013 et 2014 ne peuvent être comparés. En France, les compétences les plus prisées sont assez proches. Les statistiques et le Data Mining constituent également la compétence la plus prisée des recruteurs. Suivent le cloud computing, le C/C++, le SEO/SEM et la gestion des systèmes IBM.
LinkedIn a rassemblé ces informations au sein d’une présentation sur SlideShare. Elle permet de connaître les compétences les plus prisées dans divers pays du monde, de l’Australie aux États-Unis en passant par l’Inde. Le Data Mining est la compétences la plus tendance dans tous les pays analysés, sauf aux États-Unis ou le cloud computing est premier. Aux Émirats arabes unis, les relations publiques et internationales sont également très prisées, puisqu’il s’agit de la seconde compétence du classement. Au Brésil, c’est le recrutement qui se distingue, occupant aussi la seconde place du classement.
Pas du tout etonnee que le social media ne soit plus du tout dans le classement. Les jobs sont désormais transformes et le social ne représente qu’une partie d’un job. (Ouf ! Enfin après des annees !!)
je ne doute pas de la pertinence de ces analyses … Encore que …
Ce qui m’inquiète, sans aucun doute, c’est l’absence d’humanité, d’affect et en premier lieu surtout l’absence de compétences qui soient des « savoir-faires » qui satisfassent nos besoins vitaux, ces besoins élémentaires qui définissent la vie.
Rien qui ne définisse par exemple l’agriculture ou la pêche; la base de notre alimentation, comme si, uniquement avec du marketing ( au sens large), de l’analyse financière liée à un système communiquant informatique, et quelques réunions de repporting nous pouvions préserver notre humanité.
A moins que, j’en fais mon mea culpa de tant de pessimisme, est tout simplement que ces besoins là sont « naturellement » satisfaits a priori …
Ne doutez pas de mon optimisme en l’avenir ! C’était juste comme cela, pour rire un peu !
Que le CV ne dise pas la vérité c’est très sensé (et tout à fait normal). Même avec un CV le plus parfait (CV vérité qui n’existe pas en réalité) on a aucune garantie, que l’on va recruter le bon candidat (le candidat parfati pour faire le job). Bien au contraire c’est aussi l’inverse qui se produit. Celui dont le CV n’est pas parfait -ou un mauvais CV – il ou elle est le plus capable de faire le travail.
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