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Olivier Duffez
Créateur de WebRankInfo,
consultant en référencement
Dans une vidéo, Matt Cutts donne des conseils en référencement naturel pour les sites multilingues ou qui ciblent plusieurs pays. Faut-il utiliser plusieurs noms de domaine ou tout mettre sur un seul ?
Publié le . Auteur : Olivier Duffez
Ca peut sembler assez logique et basique, mais Matt Cutts recommande à ceux qui visent plusieurs pays (donc dans plusieurs langues) d’utiliser un nom de domaine pour chaque pays, avec une extension associée à chaque pays cible (ccTLD).
Pour ceux qui ne peuvent pas le faire, il semble conseiller d’utiliser les sous-domaines, ce qui me semble également un choix judicieux dans ce cas. En fait, je vois avec cette vidéo que nos conseils en formation référencement de sites multilingues sont conformes à ceux du boss de la lutte antispam de Google 😉
Pour ceux qui sont perdus dans le vocabulaire (noms de domaine, sous-domaines, etc.), lisez mon tutoriel sur le vocabulaire du référencement et des URL.
Il précise également que la traduction automatique est contraire aux consignes de qualité de Google. En d’autres termes, si vous avez recours à la traduction automatique, il ne faut pas faire indexer vos contenus dans Google (utilisez une balise meta noindex)… Mieux vaut investir dans des prestations auprès de traducteurs professionnels. Au passage, les contenus traduits ne génèrent pas de contenus dupliqués.
La vidéo :
Cet article vous a-t-il plu ?
28 commentaires
Bonjour,
Je viens pour qq conseils pour planifier notre stratégie multidomaine.
Pour commencer, nous souhaitons nous implanter sur les marchés principaux FR, UK, US et DE.
Peut-on choisir .com pour USA et par la suite opter pour .com/it .com/ca pour les pays secondaires?
Ma question c’est y’aura-t-il des repercussions négatives sur le .com si on choisi plus tard d’ajouter des sous domaine pour d’autres pays cibles?
Merci d’avance pour votre réponse 🙂
ça me semble correct Agnès, il faudra simplement savoir gérer la home qui sera avant tout pour les US mais devra proposer des accès faciles aux autres homepages dans les autres langues
noindex, oui
nofollow, je suis moins certain !
@Kipimo : Merci pour votre humble avis 🙂
Un noindex nofollow sur les 2 pages correspondantes, donc !
A suivre …
Moi aussi, je suis en Belgique, actif à Liège et à Bruxelles ! 😉
Votre commanditaire fait ce qu’il veut, mais bon, faudrait qu’il réalise qu’on ne peut avoir “le beurre et l’argent du beurre”, en plus.
S’il s’obstine à vouloir à vouloir placer 3 fois le même texte sur son site, dans différents sous-domaines, pour éviter une pénalisation, il faut faire en sorte que l’une des 3 pages soit “seule prise en compte par Google” (pas sur que rel= canonical fonctionne entre sous-domaines…)
sinon, il y aura pénalité pour “contenu dupliqué”, assurément !
En tout cas, cette façon de faire (3 textes identiques) ne peut en aucun cas favoriser le référencement !…
A mon humble avis du moins…
ben, au message précédent le mien, émanant de JarJar ! …
@Kipimo : merci pour votre intervention mais …
J’ai commencé par dire que le site s’adressait à une cible trilingue (je sais que ça peut paraître étonnant mais c’est relativement courant en Belgique et principalement à Bruxelles pour une cible CSP++).
Cet éditeur de site reçoit gratuitement des contenus uniques de ses partenaires, aléatoirement en FR, UK ou NL et se dit (à mon avis à juste titre) que ces contenus peuvent tout à fait intéresser 100% de sa cible (puisque trilingue !)
La traduction n’est pas envisageable pour des raisons pratiques (coût + validation de chaque article par les partenaires + temps …). La problématique relève donc purement et simplement du référencement.
Je me permets donc de réitérer à ma demande : avez-vous des conseils ou pensez-vous que cette pratique soit tout simplement incompatible avec le référencement ?
Heu… je me permets de me poser la question de la santé mentale de l’éditeur du site : il “offre” son contenu dans une seule et même langue à 3 cibles linguistiques différentes ! Je ne vois pas ce que “gagnent” les 2 cibles linguistiques qui reçoivent un texte qu’elles ne comprennent pas ! A contrario, je ne vois pas en quoi on les “prive” de quelque chose en ne le leur mettant pas à disposition !!!!!!!!!!!!!!!!!
Soit cet éditeur retrouve son bon sens et ne publie le texte que dans dans le sous-domaine qui correspond à sa langue, soit il découvre le respect de ses cibles et il traduit chaque texte dans chaque langue.
Je ne sais pas (= plus) si rel = canonical” fonctionne pour des sous domaine entre eux…
@Kipimo : je n’ai pas à compris à qui ce message était destiné ?
Je travaille pour un site belge qui s’adresse à une cible trilingue (FR, NL, UK). Le site est en .be avec un sous-domaine par version linguistique.
Problème : l’éditeur du site publie du contenu unique à forte valeur ajoutée mais disponible dans une seule des 3 langues et ne veut pas priver les autres versions.
Résultat : 3 urls avec un contenu identique et qui plus est un contenu d’une autre langue dans 2 cas sur 3 !
L’idée est d’optimiser les différents éléments on-site dans la langue ciblée de manière à éviter la duplication pure et à faire ressortir une langue principale.
Pensez-vous que la définition d’une url canonique pourrait aider au référencement du site ? Et l’attribut rel = “alternate” hreflang = “x” ?
Avez-vous des conseils ou pensez-vous que cette contrainte ne soit pas surmontable pour le référencement ?
Merci !
J’ai exactement le même problème étant belge… En effet, ça sera considéré comme du duplicate content.
Ce que tu peux tenter, c’est soit sur le même nom de domaine des répertoires selon les pays et tu bloques l’indexation d’une des 2 versions ou alors tu peux peut être tenter une version canonicale d’un des deux sites.
J’ai été confronté à un soucis lors du lancement de mes sites en multilingue…
Je voulais faire une version FR et une version BE, cependant, le contenu de ces deux sites est en français…
Es ce que je risque pas de tomber dans un phénomène de Duplicate, si je lance mes deux site de la même langue, sur deux noms de domaines différents ?
si les 2 sites FR et BE ont le même contenu (dans la même langue), ça me semble en effet pas mal risqué d’un point vue contenus dupliqués…
OK avec Vic’ : pas très clair. J’édite un site en 5 langues :
– pour l’anglais : je vise autant US que UK prioritairement, mais n’oublie pas que 85% des visites sur l’édition anglaise sont réalisées hors USA, GB (si j’en crois GG Analytics).
– pour le français : je vise autant la france que la belgique, le canada francophone et la suisse
– pour l’espagnol : je vise l’espagne autant que les pays d’amérique centrale et du sud.
…
alors actuellement la langue est en sous-répertoire (au 1er niveau) sur un .com. Le serveur est localisé en France, et la fréquentation est massivement européenne.
Je vais prochainement déployer des dizaines de sous-domaines sur les .fr, .es, .co.uk, .de, .it et le .us (et pour ce dernier, je compte transférer le domaine sur un hébergement US pour une ip made in USA).
Rendez-vous dans quelques mois pour observer/mesurer les effets.
Laurent
Matt Cutts n’est pas très clair dans sa vidéo. En ce qui concerne le Canada, il semble tout de même préconiser de publier une version en .ca, mais sans retoucher le contenu ! Qu’en est il du duplicate alors ?
Olivier, ta solution est d’avoir chaque langue à un seul endroit, mais d’autre part Matt Cutts avance l’argument de la facilitation pour les moteurs d’attribuer un site à un pays et la perception du site pour les utilisateurs comme un business local.
Alors, y a-t-il une position officielle de Google pour nous expliquer comment référencer 1 site dans 2 pays de même langue ??
N’est-il pas plus important de définir d’abord sa cible ? Vise-t’on p.ex. le marché francophone ou français ?
Dans le premier cas on peut héberger sur exemple.com/fr avec IP du marché le + important pour y être bien positionné, et dans le second cas, on héberge sur exemple.fr.
Que faire si on vise la Suisse et ses 4 langues officielles ? Bien sûr on héberge en .ch et puis ? Langue par défaut ? Sous-domaines (ou répertoires c’est pareil) ?
On a parfaitement le droit d’avoir le même contenu dans la même langue, à condition que ce soit utile. Je pense à l’anglais UK et l’anglais US (colour/color, elevator/lift…) les différences de monnaie, de culture (tutoiement ou vouvoiement en FR ou NL) Etc.
En effet, on a le droit d’avoir le même contenu dans la même langue à plusieurs URL. Il faut juste savoir que ce sera moins efficace en termes de référencement naturel.
heu…. depuis quand une extension ccTLD est-elle linguistique ?… elle est purement géographique, non ?
.fr pour le français en Belgique, .nl pour la partie en néerlandais et .co.uk ou .us pour ce qui est en anglais?????? et le .be en espéranto ?
Il me semble que cela manque de bon sens…
Il me semblait aussi que chaque page peut/doit être déclarée dans sa langue (et il existe une balise pour indiquer un changement de langue dans un texte HTML, non ?).
Quant au “contenus dupliqué”…faut-il vraiment dupliquer ???? Le spécifique national (vocabulaire, us et coutumes, etc.) cela existe, me semble-t-il.
Apparemment ce n’est pas clair 😉
Dans l’article il n’est pas écrit qu’une ccTLD est linguistique, mais puisqu’on conseille de ne publier un contenu dans une même langue qu’à un seul endroit, la notion de site multilingue et de site multipays se confond.
effectivement, merci pour cette piqure de rappel pour l’option chez OVH. Mais au final c’est bénéfique (“obligé?”) de le faire j’imagine?
Bonjour, qu’en est-il de l’hébergement de ces noms de domaines? Est-il “dangereux” de les mettre tous sur un même serveur en France ou faut-il aussi prendre un hébergement dans chaque pays associé à l’extension, ce qui peut s’avérer très lourd à mettre en place…
@e-concept : certains hébergeurs web proposent une option pour simuler un hébergement sur plusieurs IP localisées dans plusieurs pays, alors que tout est en fait au même endroit (ex: OVH). Je pense que si tu as des extensions de domaine associés aux pays cibles, inutile d’aller héberger les sites aux 4 coins du monde.
J’ai effectué le test pour la langue néerlandaise de mon site mais c’est toujours difficile de voir s’il n’y a pas d’autres facteurs environnants.
Ma société est située en Belgique et le nom de domaine est en .nl pour la version flamande de mon site. Résultat: sur certains mots-clés où je suis sur 1er sur Google Hollande, je ne suis que 2ème en Belgique. Mais de là à savoir si le nom de domaine est le seul responsable…
Merci pour ta réponse Olivier,
il me semblait bien aussi qu’il valait mieux éviter ça. Mais est-ce qu’un .be à plus de mal à s’imposer sur Google France par exemple?
J’ai en effet l’impression qu’un .be a plus de mal qu’un .fr à s’imposer sur google.fr mais je n’ai jamais pu assez bien isoler ce critère dans les tests SEO que je fais dans mon labo SEO…
C’est vraiment le retour en force des sous-domaines. On les voit partout 🙂 : webmarketing, positionnement international….
Mais dans le cas où les pays ont la même langue (cfr: France et Wallonie en Belgique), faut-il créer des contenus différent pour éviter le problème de D.C.? Ou alors utiliser la balise canonical vers le site du pays d’origine?
En règle générale, il vaut mieux se limiter à avoir chaque langue à un seul endroit (sur le nom de domaine correspondant au pays principal de la langue), sinon on rencontre un certain nombre de problèmes liés aux contenus dupliqués.
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Bonjour,
Je viens pour qq conseils pour planifier notre stratégie multidomaine.
Pour commencer, nous souhaitons nous implanter sur les marchés principaux FR, UK, US et DE.
Peut-on choisir .com pour USA et par la suite opter pour .com/it .com/ca pour les pays secondaires?
Ma question c’est y’aura-t-il des repercussions négatives sur le .com si on choisi plus tard d’ajouter des sous domaine pour d’autres pays cibles?
Merci d’avance pour votre réponse 🙂
ça me semble correct Agnès, il faudra simplement savoir gérer la home qui sera avant tout pour les US mais devra proposer des accès faciles aux autres homepages dans les autres langues
noindex, oui
nofollow, je suis moins certain !
@Kipimo : Merci pour votre humble avis 🙂
Un noindex nofollow sur les 2 pages correspondantes, donc !
A suivre …
Moi aussi, je suis en Belgique, actif à Liège et à Bruxelles ! 😉
Votre commanditaire fait ce qu’il veut, mais bon, faudrait qu’il réalise qu’on ne peut avoir “le beurre et l’argent du beurre”, en plus.
S’il s’obstine à vouloir à vouloir placer 3 fois le même texte sur son site, dans différents sous-domaines, pour éviter une pénalisation, il faut faire en sorte que l’une des 3 pages soit “seule prise en compte par Google” (pas sur que rel= canonical fonctionne entre sous-domaines…)
sinon, il y aura pénalité pour “contenu dupliqué”, assurément !
En tout cas, cette façon de faire (3 textes identiques) ne peut en aucun cas favoriser le référencement !…
A mon humble avis du moins…
ben, au message précédent le mien, émanant de JarJar ! …
@Kipimo : merci pour votre intervention mais …
J’ai commencé par dire que le site s’adressait à une cible trilingue (je sais que ça peut paraître étonnant mais c’est relativement courant en Belgique et principalement à Bruxelles pour une cible CSP++).
Cet éditeur de site reçoit gratuitement des contenus uniques de ses partenaires, aléatoirement en FR, UK ou NL et se dit (à mon avis à juste titre) que ces contenus peuvent tout à fait intéresser 100% de sa cible (puisque trilingue !)
La traduction n’est pas envisageable pour des raisons pratiques (coût + validation de chaque article par les partenaires + temps …). La problématique relève donc purement et simplement du référencement.
Je me permets donc de réitérer à ma demande : avez-vous des conseils ou pensez-vous que cette pratique soit tout simplement incompatible avec le référencement ?
Heu… je me permets de me poser la question de la santé mentale de l’éditeur du site : il “offre” son contenu dans une seule et même langue à 3 cibles linguistiques différentes ! Je ne vois pas ce que “gagnent” les 2 cibles linguistiques qui reçoivent un texte qu’elles ne comprennent pas ! A contrario, je ne vois pas en quoi on les “prive” de quelque chose en ne le leur mettant pas à disposition !!!!!!!!!!!!!!!!!
Soit cet éditeur retrouve son bon sens et ne publie le texte que dans dans le sous-domaine qui correspond à sa langue, soit il découvre le respect de ses cibles et il traduit chaque texte dans chaque langue.
Je ne sais pas (= plus) si rel = canonical” fonctionne pour des sous domaine entre eux…
@Kipimo : je n’ai pas à compris à qui ce message était destiné ?
Je travaille pour un site belge qui s’adresse à une cible trilingue (FR, NL, UK). Le site est en .be avec un sous-domaine par version linguistique.
Problème : l’éditeur du site publie du contenu unique à forte valeur ajoutée mais disponible dans une seule des 3 langues et ne veut pas priver les autres versions.
Résultat : 3 urls avec un contenu identique et qui plus est un contenu d’une autre langue dans 2 cas sur 3 !
L’idée est d’optimiser les différents éléments on-site dans la langue ciblée de manière à éviter la duplication pure et à faire ressortir une langue principale.
Pensez-vous que la définition d’une url canonique pourrait aider au référencement du site ? Et l’attribut rel = “alternate” hreflang = “x” ?
Avez-vous des conseils ou pensez-vous que cette contrainte ne soit pas surmontable pour le référencement ?
Merci !
J’ai exactement le même problème étant belge… En effet, ça sera considéré comme du duplicate content.
Ce que tu peux tenter, c’est soit sur le même nom de domaine des répertoires selon les pays et tu bloques l’indexation d’une des 2 versions ou alors tu peux peut être tenter une version canonicale d’un des deux sites.
J’ai été confronté à un soucis lors du lancement de mes sites en multilingue…
Je voulais faire une version FR et une version BE, cependant, le contenu de ces deux sites est en français…
Es ce que je risque pas de tomber dans un phénomène de Duplicate, si je lance mes deux site de la même langue, sur deux noms de domaines différents ?
si les 2 sites FR et BE ont le même contenu (dans la même langue), ça me semble en effet pas mal risqué d’un point vue contenus dupliqués…
OK avec Vic’ : pas très clair. J’édite un site en 5 langues :
– pour l’anglais : je vise autant US que UK prioritairement, mais n’oublie pas que 85% des visites sur l’édition anglaise sont réalisées hors USA, GB (si j’en crois GG Analytics).
– pour le français : je vise autant la france que la belgique, le canada francophone et la suisse
– pour l’espagnol : je vise l’espagne autant que les pays d’amérique centrale et du sud.
…
alors actuellement la langue est en sous-répertoire (au 1er niveau) sur un .com. Le serveur est localisé en France, et la fréquentation est massivement européenne.
Je vais prochainement déployer des dizaines de sous-domaines sur les .fr, .es, .co.uk, .de, .it et le .us (et pour ce dernier, je compte transférer le domaine sur un hébergement US pour une ip made in USA).
Rendez-vous dans quelques mois pour observer/mesurer les effets.
Laurent
Matt Cutts n’est pas très clair dans sa vidéo. En ce qui concerne le Canada, il semble tout de même préconiser de publier une version en .ca, mais sans retoucher le contenu ! Qu’en est il du duplicate alors ?
Olivier, ta solution est d’avoir chaque langue à un seul endroit, mais d’autre part Matt Cutts avance l’argument de la facilitation pour les moteurs d’attribuer un site à un pays et la perception du site pour les utilisateurs comme un business local.
Alors, y a-t-il une position officielle de Google pour nous expliquer comment référencer 1 site dans 2 pays de même langue ??
N’est-il pas plus important de définir d’abord sa cible ? Vise-t’on p.ex. le marché francophone ou français ?
Dans le premier cas on peut héberger sur exemple.com/fr avec IP du marché le + important pour y être bien positionné, et dans le second cas, on héberge sur exemple.fr.
Que faire si on vise la Suisse et ses 4 langues officielles ? Bien sûr on héberge en .ch et puis ? Langue par défaut ? Sous-domaines (ou répertoires c’est pareil) ?
On a parfaitement le droit d’avoir le même contenu dans la même langue, à condition que ce soit utile. Je pense à l’anglais UK et l’anglais US (colour/color, elevator/lift…) les différences de monnaie, de culture (tutoiement ou vouvoiement en FR ou NL) Etc.
En effet, on a le droit d’avoir le même contenu dans la même langue à plusieurs URL. Il faut juste savoir que ce sera moins efficace en termes de référencement naturel.
heu…. depuis quand une extension ccTLD est-elle linguistique ?… elle est purement géographique, non ?
.fr pour le français en Belgique, .nl pour la partie en néerlandais et .co.uk ou .us pour ce qui est en anglais?????? et le .be en espéranto ?
Il me semble que cela manque de bon sens…
Il me semblait aussi que chaque page peut/doit être déclarée dans sa langue (et il existe une balise pour indiquer un changement de langue dans un texte HTML, non ?).
Quant au “contenus dupliqué”…faut-il vraiment dupliquer ???? Le spécifique national (vocabulaire, us et coutumes, etc.) cela existe, me semble-t-il.
Apparemment ce n’est pas clair 😉
Dans l’article il n’est pas écrit qu’une ccTLD est linguistique, mais puisqu’on conseille de ne publier un contenu dans une même langue qu’à un seul endroit, la notion de site multilingue et de site multipays se confond.
effectivement, merci pour cette piqure de rappel pour l’option chez OVH. Mais au final c’est bénéfique (“obligé?”) de le faire j’imagine?
Bonjour, qu’en est-il de l’hébergement de ces noms de domaines? Est-il “dangereux” de les mettre tous sur un même serveur en France ou faut-il aussi prendre un hébergement dans chaque pays associé à l’extension, ce qui peut s’avérer très lourd à mettre en place…
@e-concept : certains hébergeurs web proposent une option pour simuler un hébergement sur plusieurs IP localisées dans plusieurs pays, alors que tout est en fait au même endroit (ex: OVH). Je pense que si tu as des extensions de domaine associés aux pays cibles, inutile d’aller héberger les sites aux 4 coins du monde.
J’ai effectué le test pour la langue néerlandaise de mon site mais c’est toujours difficile de voir s’il n’y a pas d’autres facteurs environnants.
Ma société est située en Belgique et le nom de domaine est en .nl pour la version flamande de mon site. Résultat: sur certains mots-clés où je suis sur 1er sur Google Hollande, je ne suis que 2ème en Belgique. Mais de là à savoir si le nom de domaine est le seul responsable…
Merci pour ta réponse Olivier,
il me semblait bien aussi qu’il valait mieux éviter ça. Mais est-ce qu’un .be à plus de mal à s’imposer sur Google France par exemple?
J’ai en effet l’impression qu’un .be a plus de mal qu’un .fr à s’imposer sur google.fr mais je n’ai jamais pu assez bien isoler ce critère dans les tests SEO que je fais dans mon labo SEO…
C’est vraiment le retour en force des sous-domaines. On les voit partout 🙂 : webmarketing, positionnement international….
Mais dans le cas où les pays ont la même langue (cfr: France et Wallonie en Belgique), faut-il créer des contenus différent pour éviter le problème de D.C.? Ou alors utiliser la balise canonical vers le site du pays d’origine?
En règle générale, il vaut mieux se limiter à avoir chaque langue à un seul endroit (sur le nom de domaine correspondant au pays principal de la langue), sinon on rencontre un certain nombre de problèmes liés aux contenus dupliqués.