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SOMMAIRE DE L'ARTICLE
Les métiers d’avenir et notamment autour du web, semblent exploser depuis ces 20 dernières années. Après l’éclatement de la bulle Internet, les cartes ont été redistribuées. Faire fortune sur le web est aujourd’hui réservé à une élite.
La une des magazines business n’est que le reflet de 3% des entreprises qui réussissent avec Internet, qu’il s’agisse d’uberisation, de projet collectif, de nouvelles tendances de consommation etc… peu parviennent à décrocher des fonds et perdurer au-delà de la période fatidique des 3 ans.
Tout ça c’est acté ! Mais il faut également regarder du côté des nouvelles technologies qui redéfinissent elles aussi de nombreux paramètres au niveau de ces métiers, qui ont rapidement émergé. Prenons l’exemple du community manager et du rédacteur web, qui pourraient bien disparaitre d’ici quelques années.
 
Je me souviens il y a quelques temps avant la crise, j’échangeais avec un chauffeur UBER sur son métier et ce que l’entreprise avait apporté au niveau de l’employabilité. Si on voit le côté positif des choses, de nombreux emplois ont effectivement été générés grâce à UBER. Cependant il était réaliste et me disait qu’il était surtout en situation de transition face à leurs objectifs.
Selon ses propos, tout l’écosystème UBER et notamment le secteur des VTC, est appelé à se réinventer grâce à la voiture autonome. En clair, l’entreprise s’auto-finance par son activité de VTC, en vue de développer la voiture autonome (sans chauffeur). Un gars visionnaire qui montrait que la technologie pouvait aussi avoir son revers de la médaille. On génère des emplois et on les efface d’un revers de la main en un rien de temps !
Les bons et les mauvais côtés de la technologie
Si les nouvelles technologies peuvent générer des emplois, elle peut également les faire aussitôt disparaitre. C’est en se développant rapidement, que les technologies nous permettent de voir où l’on va. Si tout s’automatise et que plus rien ne permet à l’homme de travailler, comment le commerce pourrait-il fonctionner ?
Certes l’homme sera toujours indispensable pour créer, développer et améliorer mais est-ce qu’il n’est pas en train de se tirer une balle dans le pied ?
Faisons un point sur l’intelligence artificielle et plaçons 2 métiers, pourtant en vogue ces dernières années, le community manager et le rédacteur web.
 
La disparation de certains métiers du web n’est pas un phénomène né d’une quelconque imagination ou de prévisions sans faire état de ce que nous vivons. Les avancées technologiques et surtout celles qui sont liées à l’intelligence artificielle, deviennent de plus en plus capable de remplacer l’être humain.
Dotée de calcul ultra-rapide, de connaissances illimitées et basées sur le machine learning, d’analyses pointues ou encore d’être capable d’interagir au travers de robots. L’intelligence artificielle est pleinement opérationnelle !
Ainsi le community manager et le rédacteur web pourraient être directement impactés par l’IA. Ce n’est bien sûr qu’une supposition. D’un côté les entreprises font de plus en plus appel aux chatbots, jusqu’à ce qu’ils deviennent parfaitement autonomes et capables de répondre aux sollicitations des internautes, notamment au travers des réseaux sociaux.
Plus de modération, plus de conversation, plus de recherche d’engagement, des programmations basées de plus en plus sur des mots-clés etc. seront ça de moins à travailler par les community managers.
Un rôle qui s’amenuisera dés lors et qui ne se développera plus auprès des grandes entreprises. Le temps que certaines technologies se banalisent et que tous ne jurent que par les chatbots et l’intelligence artificielle.
C’est justement là où s’enfonce le clou pour le community manager, entrainant au passage le métier de rédacteur web. L’intelligence artificielle est aujourd’hui capable de rédiger un contenu optimisé pour le SEO et même de produire des visuels, et tout ça, mieux qu’un être humain. En plus d’y adjoindre un correcteur orthographique basé lui aussi sur l’IA, les contenus seront pertinents et parfaitement rédigés sans même une faute d’orthographe ni de grammaire.
Si aujourd’hui vous l’utilisiez au travers d’outils, demain l’IA n’aura plus besoin de vous et deviendra parfaitement autonome dans le cadre du machine learning.
La disparation du community manager et du rédacteur web
Devrons-nous assister à une concurrence opposant des intelligences artificielles ? Ce serait bien possible dés lors que des acteurs professionnels en useront et que d’autres leur emboiteront le pas. L’IA devient vraiment puissante et elle ne finira pas dans un tiroir à mon sens ! Ce qui revient à dire que de nombreux secteurs verront son application, au sein de plusieurs rôles. Le community management et la rédaction en feront partie que ça plaise ou nous !
On pourra toujours dire que « Rien ne remplacera l’humain » mais pour certains cela restera des mots. On peut le constater dans les points de ventes, en ligne et demain à plus grande échelle. L’IA sera la technologique sur laquelle les entreprises investiront et avec celle-ci la réalité augmentée et la réalité virtuelle.
Les petites entreprises feront encore appel au community management et plus encore après la crise, ce qui pourrait amener un premier pic avant de redescendre dans les années à venir. Si ça peut paraitre loin, c’est en réalité plus proche qu’on ne le pense. De nombreux articles sur le web font état des percées en matière d’intelligence artificielle et Google y est très impliqué !
Des entreprises, si elles survivent, auront toujours la préférence de l’humain mais on tend aussi vers la rapidité, la productivité etc… et face à la concurrence il sera dur de tenir.
 
Qu’est-ce qui prendra le pas sur ces métiers et où seront les compétences sur lesquelles investir ? Si on s’en tient à ces technologies que sont l’IA, la réalité augmenté et la réalité virtuelle, les métiers liés au développement d’applications, d’outils etc. seront des valeurs sûres ! Combien de temps ? Jusqu’à ce qu’une IA ait les compétences de produire et de concevoir des programmes intelligents.
Soyons tout de même réaliste ! Nous n’en sommes pas au stade d’un monde robotisé mais certains leviers et axes pourraient bien disparaitre. Il faudra donc être visionnaire, voir se réinventer. Le community manager et le rédacteur deviendraient dés lors des métiers de faible envergure.
Bonjour Laurent,
Pas sûr qu’une IA puisse analyser et construire une réflexion sur un sujet donné. Google travaille dessus ? Pourtant son algorithme combat farouchement les contenus fades, sans saveur et vides de sens. Il faut de la qualité, une plus-value, une approche unique et donc une réflexion unique pour être performant sur les sujets concurrentiels (et dieu(google?) sait qu’il y en a beaucoup). Peut-être développe-t-il sa propre IA dans ce sens, ou peut-être pas.
L’ambition de ces technologies est de répondre à un certain besoin (rapidité d’exécution, faible coût de prod), mais pas à TOUS les besoins et je pense que le développement de ces outils se heurte à pas mal de limites qui laissent à ces métiers l’opportunité d’évoluer pour du mieux : du plus quali et du plus efficace (c’est aux professionnelles d’assimiler leurs missions à la culture du résultat s’ils veulent rester dans la course)
L’optimisation du référencement ne suffit d’ailleurs plus, et de moins en moins, aux algorithmes qui cherchent l’optimisation de l’expérience générale de l’utilisateur, d’où l’obsolescence du SEO, nous devrions tous employer SXO de nos jours… J’ai vu les démos de ces IA sur la rédac et franchement : c’est bluffant pour des robots, mais pas assez pour une entreprise qui souhaite informer qualitativement sa cible et traduire parfaitement son expertise (par le débat, les approches originales, les pensées diverses) choses qu’une IA ne peut pas faire ou dans une certaine limite. Le jour où elle le pourra, nous, pauvres humains, serons bien dans la merde si je puis me permettre, car cela voudra dire qu’elles sont douées de conscience et seraient capables de prendre position… Les rédacteurs (et community manager) ont probablement du souci à se faire s’ils ne savent pas écrire, ordonner une réflexion et n’ont pas de sens critique. Pour les autres tout devrait bien se passer.
Personnellement l’IA ne me fait pas peur, bien que plus rapide, plus économique financièrement, les productions ne sont pas qualitatives (même si je suis consciente que beaucoup d’entreprises se fichent de la qualité des contenus, du moment que quelques résultats en ressortent pour les rassurer).
Depuis des années on nous bassine avec ce qui demain tuera les métiers d’aujourd’hui, pourtant on a toujours des hôtes et hôtesses de caisse, il me semble ? Cela fait plusieurs années qu’il existe des logiciels qui peuvent produire ou reformuler du contenu tout seul. La qualité n’a jamais, jusqu’ici, été aussi satisfaisante sur le niveau d’écriture, de ciblage, de bon sens, d’empathie et de sens critique que les contenus produits par les professionnels compétents… C’est toujours le même problème finalement sur le web : les incompétents et naïfs (je rappelle que quiconque peut se perfectionner avec l’investissement et la motivation) se font avoir par la promesse de succès alléchante des métiers du web et disparaissent rapidement. Les compétents se font une place sur le long terme.
Mais je vous l’accorde, une part de vérité demeure bien, l’IA peut remplacer certaines personnes, uniquement si la compétence de ces dernières est fragile et ne peut concurrencer le niveau de l’IA ou d’une quelconque technologie (ici je parle pour les métiers citer ci-dessus, bien qu’en général, en supprimant des métiers les technologies en créer de nouveaux pour la maintenance de ces mêmes technologies par exemple)
PS : l’article porte tant sur l’IA que ses conséquences, sinon comment parler des conséquences de l’IA si le sujet de l’article ne porte pas sur cette dernière ?
Seul l’émotion génère de l’engagement. Pas un mot à ce sujet dans cet article. Copie à revoir pour donner de la profondeur au sujet de l’IA.
Bonjour,
Si je ne m’abuse, le travail d’un community manager n’est pas que de générer de l’émotion ! Il y a certes la notion d’engagement et moi-même suis le premier à dire que sans l’humain, sans la rencontre, l’engagement demeure volatile. Pourquoi ? Tout simplement parce que rien ne retient une personne quant à ses actes et ses choix et à plus forte raison au travers des réseaux sociaux. Elle se désabonne si elle veut, se désengage etc…
Donc là où il y amalgame, c’est que l’IA est tout à fait capable de générer des émotions, mais qu’elle ne peut les ressentir car ça ne reste qu’une machine. Si le sujet n’a pas été traité, c’est qu’il n’a pas lieu d’être sur le fond. Ici l’IA est fonction de ce qu’elle est capable de reproduire, des actes humain comme la création de contenu, la modération, les réponses à apporter à des doléances etc…
De plus ce n’est pas un article sur l’IA mais sur ses conséquences isolées et sur un domaine bien précis.
J’ajoute que ce n’est pas un article sur l’IA, mais la conséquence de ce qu »elle provoque
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