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SOMMAIRE DE L'ARTICLE
Si le community management se durcit de plus en plus du fait de la concurrence, de l’infobésité grandissante et des algorithmes des réseaux sociaux qui changent régulièrement, devenir community manager freelance sera à n’en pas douter, un un vrai challenge d’ici à 2023.
Découvrons les pistes envisageables pour exercer un rôle de CM indépendant sur l’année 2023.
Si les années passent et ne ressemblent pas, il en est de même pour les métiers du digital qui subissent eux-aussi les effets du temps. Entre saturation du web, difficulté à émerger du fait de l’infobésité et concurrence qu’il est de plus en plus difficile à contrer, le community management doit malgré tout se frayer son chemin.
Ainsi pour celles et ceux qui souhaitent devenir community manager freelance à l’aube de 2023, il faudra tout de même apprendre à se diversifier et ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier. Il y a quelques années en arrière, on ne soulevait pas trop les effets d’une présence social media sur un chiffre d’affaires, aujourd’hui on y regarde de plus prés.
La connaissance des entreprises sur le community management est aussi nettement meilleure et elles savent qu’être présent sur les réseaux sociaux est incontournable et que ça peut leur apporter de la visibilité, mais pas que !
Le community manager freelance devra donc intégrer ces paramètres, et bien roder son discours sur son métier et les attentes de ses clients. N’oublions pas les freins en community management qui ne vont guère aider les CM qui se lancent. Paradoxalement les entreprises connaissent mieux le rôle, après tant d’années à en parler dans tous les sens du terme, mais tout devient plus difficile en parallèle, et avec des attentes qui elles, ne diffèrent pas. Il faut être visible, émerger, et être référent dans son domaine tout en faisant du chiffre.
Si le community manager n’est pas un commercial, il est tout de même un pilier qui conduit vers la réussite d’une entreprise présente en ligne. Le référencement naturel piloté par des experts SEO, viendra compléter une logique en terme de visibilité à acquérir.
En plus des éléments du métier tels qu’on les connait, viennent s’ajouter les nouvelles technologies avec la réalité virtuelle et augmentée et bien entendu le Metaverse. A eux seuls, ils bouleverseront à nouveau des habitudes en terme de consommation, mais également sur les aspects social et sur la communication.
La gestion et l’animation des communautés diffèreront nettement du fait d’une représentation un peu plus réelle des internautes. C’est ici que l’on évoquera la modération des comportements qu’il faudra intégrer en community management.
Après avoir posé les bases, la première chose à faire sera bien sûr de suivre une formation community manager. Si ce point basique est évoqué, c’est simplement parce que les formations community manager en 2023 devront évoluer pour être à la page.
Il s’agira donc de bien prendre connaissance des programmes et de les calquer sur les attentes des entreprises sur fond de nouvelles technologies et donc des métaverses également.
Les bases du métier de community manager demeurent les mêmes, mais il évoluera et ce sera une occasion d’endosser un vrai nouveau rôle, plutôt que de rester camper sur des bases, avec des CM qui auront plusieurs années d’expérience. Il faudra donc faire la différence en 2023 pour gagner ses premiers clients et les suivre sur du moyen long terme.
Analyser bien les programmes et établissez un plan de formation avec d’éventuelles spécialités selon vos moyens et vos ressources. Vous aurez ainsi une valeur ajoutée à faire valoir, sans oublier de continuer à apprendre au delà de votre formation. Le métier de CM ne s’arrête pas à une école ou un centre, mais il va bien plus loin si on veut faire la différence.
Oui et non ! Oui pour les community managers qui exercent depuis de nombreuses années, et qui apportent de la valeur ajoutée en plus d’être reconnu par leurs clients pour certain(e)s. Non pour les nouveaux car il sera assez difficile de percer en restant sur les bases, et au milieu d’une concurrence grandissante.
Néanmoins toute entreprise est apte à faire appel à un community manager, ce qui ne limite pas les clients pour le CM freelance. Il est tout de même préférable d’adapter son community management aux nouveaux besoins des entreprises, sans se couper des fondamentaux.
Le community management est certainement encore rentable pour les entreprises qui ne sont pas présentes en ligne et qui entame leur virage social media. Du point de vue du community manager freelance, c’est la nature des missions recherchées et pratiquées qui fera la différence. Le community management au forfait sera à éviter à mon sens, car pas rentable et très chronophage si on vise les packs.
La rentabilité peut aussi être une question de popularité, d’un excellent bouche-à-oreille etc. mais réservé à ceux qui ont déj quelques années de pratique derrière eux.
Plutôt que de faire du community management pure et dure au départ, il peut être intéressant d’élargir son rôle et ses missions pour ne pas s’enfermer dans une impasse. Le travail ne vient pas à soi du jour au lendemain, donc se diversifier est important pour répondre à des demandes plus larges, tout en restant sur son cœur de métier.
Voici les différents rôles à endosser si vous avez des prédispositions, capacités ou du temps pour vous former sur des sujets spécifiques.
Le principe du community management de terrain est très simple à comprendre, car il s’agit pour un CM de partir à la rencontre sa communauté et d’associer habilement offline et online. Il existe de nombreux exemples où le community manager pourra exercer au-delà du clavier et donc des réseaux sociaux, le community management au sein des mairies en est un bel exemple.
Des sujets autour de la musique, des jeux-vidéo, de l’évènementiel, du sport etc. permettent à un CM d’associer le terrain à son travail en ligne. Un freelance pourra ainsi développer une offre en ce sens et créer un lien plus fort entre la communauté et l’entreprise, mais également avec lui au centre des actions. Ce qui créera également un rapport de confiance avec son client, qui sera plus enclin à le rappeler pour d’autres missions basées sur ce rôle.
Jouer la casquette du consultant social media plus que celle de community manager freelance peut être un choix judicieux car parfois mieux reconnu et plus valorisant auprès de certaines entreprises. Les grands groupes ont plus l’habitude de traiter avec des consultants car il existe des barèmes, mais ça n’enlève en rien la nature des missions. Elles peuvent tout-à-fait avoir trait à du community management !
C’est une casquette à prendre et à conserver car difficile de faire le caméléon en, jonglant d’un titre à un autre. Consultant social media est suffisamment explicite et cela intègre le community management bien entendu.
Assurer des formations permet de se faire du récurrent et d’avoir plus de visibilité sur son planning de missions à venir. Il est entendu qu’il avoir la capacité à former, mais si besoin des formations existent sur ce rôle. Il ne vous restera qu’à trouver un partenariat avec un ou plusieurs centres de formation pour remplir votre agenda.
La formation demeure l’un des meilleurs moyens pour diversifier son activité tout en transmettant son savoir. Il vous faudra aussi analyser les taux journalier pour ne pas tomber dans des tarifs inintéressants et c’est courant dans le milieu malheureusement.
Avoir un blog et le pousser pour en tirer un revenu substantiel est une option à considérer si vous savez rédiger Il faut faudra être passionné, récurrent et vous inscrire dans la durée pour parvenir à monétiser votre blog. Il sera essentiel d’être très bon rédacteur et savoir optimiser vos contenus en matière de référencement naturel. De plus avoir un blog en tant que community manager freelance sera un réel avantage pour émerger par la suite.
Le netlinking sera à terme le meilleur levier pour obtenir des revenus réguliers selon les acteurs proposant ces services, et il y en a pas mal. C’est un choix qui demande de l’investissement en temps, mais qui paie toujours par la suite.
La rédaction web peut aussi s’exercer pour d’éventuels clients qui tiennent des blogs professionnels. Soyez bon rédacteur et apprenez à optimiser votre contenu pour ensuite le monétiser. Faites attention là aussi aux tarifs que l’on voit apparaitre sur Internet, car très souvent tirés vers le bas. Il vous faudra un nom pour percer, d’où l’intérêt de travailler son personal branding et éventuellement d’avoir un blog à soir comme mentionné.
Un sujet qui demande d’avoir des experts face à soi, car c’est encore un nouveau levier mais qui sera néanmoins indispensable dans les années à venir, si on considère que le social media migrera en partie vers les métavers. Il ne s’agira plus de modérer des contenu mais de modération des comportements et ce sera certainement une des compétences demandées au community manager.
La modération peut également être une spécialité à part en vue de proposer ses services à des entreprises et ou groupes présent sur les réseaux sociaux et peut-être à terme sur ces métavers.
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L’idée est de diversifier son offre en tant que community manager freelance, même si on a tendance à dire de ne pas s’éparpiller, mais la spécialisation ou les missions sur lesquelles on préfère travailler, viendront dans un second temps. Il faut apprendre, se faire la main et avoir quelques références notables pour être reconnu et sollicité.
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