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SOMMAIRE DE L'ARTICLE
L’emailing a bien évolué au cours de ses 15 dernières années et semble encore avoir un bel avenir devant lui.
Selon le site Return Path , spécialiste de l’emailing, « en 2017, plus de 3,7 milliards de personnes sont dotées d’une adresse électronique et 269 milliards de courriers échangés chaque jour, avec une rentabilité importante pour les entreprises puisque les dernières estimations de Return Path démontrent en effet un ROI de 32$ pour chaque dollar dépensé sur ce canal. » « En 2020 plus de 3 milliards de personnes au monde utiliseront la messagerie instantanée. »
Et dans un futur proche, à quoi ressemblera l’emailing ?
L’intelligence artificielle pourrait bien être l’élément déclencheur dans l’évolution du emailing… L’afflux de quantité de données a conduit à de nouvelles perspectives pour les marketeurs. 
C’est du côté de la technique que l’IA contribuera à l’évolution du emailing, notamment à identifier les facteurs de conversion. Le ciblage comportemental sera ainsi mieux identifié…
Concrètement, l‘IA identifiera une grande masse de donnée et analysera ce qui fonctionne bien. Elle déterminera mieux les consommateurs potentiels et intéressés par tel produit ou service. La connaissance client sera davantage affinée, un véritable tournant dans le secteur des campagnes marketing (publicité marketing et la publicité en général).
Aujourd’hui un emailing marketing est pourvu de liens servant à guider le destinataire vers le produit en ligne.
À l’avenir, les destinataires auront la possibilité d’interagir directement dans l’emailing. Par exemple, ils pourront choisir la taille et la couleur d’un produit, ou bien commander le produit depuis la newsletter et non plus depuis le site.
En plus de ces nouvelles fonctions, de minis jeux tels que des questionnaires ou des puzzles pourront y être intégrés afin de rendre la newsletter plus engageante.
La montée du social média dans les stratégies marketing n’a pas réussi à faire de l’ombre à l’emailing ! Bien au contraire.
Ainsi l’emailing parvient même à dépasser les réseaux sociaux comme Twitter et Facebook en terme de conversion et reste tout de même l’outil le plus utilisé au monde. Mais les deux sont parvenus aujourd’hui à être complémentaires…
Comment cette complémentarité fonctionne ?
Depuis une page Facebook d’une entreprise par exemple, il est possible de s’inscrire à la newsletter et inversement, depuis la newsletter, il est possible de rejoindre les réseaux sociaux. (boutons de partage). En clair un levier permet d’en actionner un autre et réciproquement.
Selon le site le nouvel économiste « Le phénomène explose depuis quelques années et se démocratise. Depuis cinq ans, même les petites entreprises, qui disposent de peu de moyens, peuvent automatiser leurs processus marketing sans dépenser beaucoup d’argent. »
Selon le site le nouvel économiste « Nous verrons de plus en plus les logiciels emailing se développer pour devenir des outils CRM à part entière. D’une utilisation plus classique consistant à envoyer des newsletters informatives, nous allons nous diriger vers une utilisation beaucoup plus complète de l’emailing où celui-ci sera intégré à d’autres canaux à travers des systèmes d’automation pour permettre de structurer la totalité de l’expérience client.«
Le 25 mai 2018, le RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données à caractère personnel) est entré vigueur. Cette nouvelle réglementation aurait pu provoquer une remise en cause totale de l’emailing. D’ailleurs, elle avait soulevé des questionnements en terme de business.
De nombreux professionnels étaient persuadés de perdre du chiffre d’affaires ou tout du moins des prospects, du fait surtout « du consentement explicite des contacts » soit le double opt-in (obtenir deux fois le consentement d’un utilisateur avant de l’ajouter à une liste de contacts).
Petit mémento de quelques règles à respecter en matière d’emailing avec le RGPD :
Pour terminer selon le site stratosweb « la tendance donnerait plutôt raison aux entreprises ayant compris l’opportunité de la conformité RGPD. Cela tend à me faire dire que le RGPD est finalement une bonne chose pour le business.«
Source image à la une : DepositPhotos
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