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C’est un brin nostalgique que les « ancien.nes » se souviennent de leurs débuts dans le SEO. Ils ont découvert que Panda, Pingouin et Pigeon n’étaient pas que des noms d’animaux. Ils ont aussi appris à connaitre et à maîtriser les exigences requises dans le domaine…
Tout d’abord, il y a les optimisations de sites Internet et la rédaction de contenu. Ensuite, il y a la mise en place de stratégies de netlinking puis au quotidien, des tests et surtout une veille permanente.
Mais par-dessus tout, être référenceur, c’est connaitre une légère arythmie à chaque mise à jour de l’algorithme du pape du référencement naturel : Google !
Nous allons parler ici essentiellement de Google aka 97% des recherches faites sur la toile.
Retour en arrière, plus précisément en 1998, quand Google a vu le jour suite aux travaux de deux informaticiens, Sergey Brin et Larry Page. Pour la petite histoire, le nom de la marque vient du mot googl (gogol en français), un terme mathématique qui vaut 10 puissance 100. Rien que ça.
Le classement des résultats sur le moteur de recherche était, au départ, 100% naturel (un peu comme les stars de télé réalité). C’était simple, il basait ses résultats uniquement sur la correspondance mot clés / sites. C’est à ce moment là que les marketeurs de l’époque se sont rendu compte qu’en modifiant quelques éléments de leurs sites, ils grimpaient dans le classement. Ce sont là les balbutiements de l’optimisation pour les moteurs de recherche et donc, la naissance du SEO.
Les référenceurs des années 90 utilisaient des techniques qui consistaient à répéter les mots clés un nombre incalculable de fois pour se positionner. Parfois écriture blanche sur fond ou écriture noire sur fond noir. Le fameux black-hat dont vous avez certainement entendu parler et qui existe toujours, sous d’autres formes. Ces techniques ont fonctionné… un temps, car l’équipe Google a découvert la supercherie qui les a conduits à travailler ardument son algorithme. A ce sujet, le nouveau slogan de la marque coloré donne le ton : « don’t be evil ».
En 2003, un nouvel élément fait son apparition dans les critères de Google : le niveau de qualité du site proposé. C’est à ce moment que les premiers sites se voient pénalisés pour des méthodes black-hat évoquées plus haut. Cette même année, au-delà de la qualité du site lui-même, le géant évalue le niveau de popularité d’un site en répertoriant le nombre de liens entrants qu’il compte.
En 2007, Google commence à lutter contre le contenu dupliqué, le fameux « duplicate content ». De la même manière, en 2010, il nous indique clairement qu’il attend un haut niveau de qualité de rédaction de contenu pour bien référencer un site. Pour finir, il regarde la vitesse de téléchargement d’un site. Ce jour-là, Google Speed Insight est devenu notre meilleur ami !
Depuis 2011, Google analyse le comportement du visiteur sur votre site. Un an plus tard, il pénalise fortement les liens artificiels. En 2014, il favorise le https et l’année suivante, il décide de pénaliser les sites satellites au contenu à faible valeur.
Plus récemment, Google a pénalisé les sites comportant trop de spams (2017) ainsi que les sites ne disposant pas de versions adaptées à la recherche mobile (2015).
Aujourd’hui, on peut dire que le SEO est une pratique incontournable dans le cadre de mise en place d’une stratégie de communication efficiente. Un consultant SEO travaille les mots clés principaux des sites de ses clients dans un environnement lexical et sémantique qualitatif, et il n’oublie pas la long tail grâce à des articles de blog.
On obtient des liens de qualité en faisant des échanges, du guest blogging ou des relations presse. En somme, le netlinking se travaille désormais par le biais de liens éditoriaux et non plus par des liens au sein d’annuaires de faible qualité comme cela se faisait jadis…
Pour résumer, de nos jours, l’important est sans aucun doute d’axer toute sa stratégie autour de l’expérience utilisateur.
Eh bien demain, nous serons certainement menés à modifier notre travail de rédaction avec la démocratisation des enceintes connectées. Si ce type de produit continue sa croissance, nous devrons passer du travail sur un mot clé tel que « formation marketing » à celui d’une expression comme « (hey Google) où trouver une formation en marketing ? ». Et le plus probable est que l’on ait à travailler les deux. On planche déjà là-dessus. Promis.
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